1. Belle fille(s) (13)


    Datte: 13/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... deux, ça ne te suffit pas, c’est ça ? On peut trouver un compromis, si tu veux par exemple avoir des amants de temps en temps. Elle est un peu embarrassée, puis relève la tête fièrement, pour dire : — Mon pauvre ! Ça fait bien longtemps que je n’ai rien éprouvé avec toi. Trop souvent, j’ai dû simuler pour que ça aille plus vite ! Eh oui ! Avec eux, je m’éclate comme jamais ! Et à mon âge, je dois connaître ça ! J’en ai assez de cette vie plan-plan, je veux me faire baiser et jouir toute la journée si il le faut ! C’est pour ça que je suis venu chercher quelques affaires et rejoindre Maxime, dès demain, je compte m’installer chez ma sœur par la suite ! Pouvoir profiter d’eux et même des gamins comme tu le dis. Je peux t’assurer qu’ils baisent mieux que toi ! Bon, assez parlé! Pour cette nuit, tu n’auras qu’à dormir dans le canapé, j’ai besoin de me reposer dans un bon lit, mais sans toi ! Je reste sans mot, abasourdi, vexé, peiné, submergé de désillusions. Elle a été franche et directe, je dois le reconnaître, mais j’ai atrocement mal à l’âme. Des larmes emplissent mes yeux. Elle se lève, j’en fais autant, machinalement, quand surgissent les deux filles. Aurélie m’enlace la taille et dit en regardant sa mère : - Ne t’en fait pas maman, va rejoindre ton Maxime chéri. Ah ! Il faut quand même que tu saches, que la dernière fois que nous étions là bas, il a voulu me violer, heureusement que Laetitia est intervenue et l’a giflé ! Et puis surtout, il faut aussi que tu saches, que ...
    ... moi, je l’aime ton mari et qu’il me fait toujours jouir ! Toujours ! Quand Aurélie me tend ses lèvres, je les prends. Je l’embrasse brièvement, instinctivement plus que volontairement, tandis qu’elle se love contre moi. Brigitte est bouleversée de voir cette scène, D’autant plus que Laetitia m’enlace la taille, se serre contre mon torse, tout en lançant un petit regard provocateur à sa mère, elle ajoute, avec un peu de perfidie : — Moi aussi, je suis d’accord avec Aurélie, je trouve que Papou me baise superbement bien ! Mieux que mon copain. Brigitte reste pantoise, les bras ballants. A son tour d’être humiliée. Ce n’était pas ma volonté de la peiner, mais les filles en ont décidé autrement, en brusquant les choses. C’est vrai que, depuis toutes ces années, je me suis occupé d’elles bien plus que leur propre mère, mais quand même, elles mettent de la brutalité dans ces révélations ! Je souhaite que ça ne soit pas par ressentiment vis-à-vis de Brigitte, qui restera toujours leur mère. Mon épouse vexée, monte préparer ses valises en vitupérant à mots couverts. Puis, nous l’aidons à charger sa voiture, sans un mot. Elle n’avait pas dû s’imaginer repartir aussi rapidement, mais l’atmosphère orageuse à la maison, l’a convaincue de reprendre la route. Nous aurons à parler, Brigitte et moi, mais pas ce soir. J’enlace mes deux filles par la taille, non pour les accaparer comme un prédateur, mais pour sentir la chaleur de leur corps contre le mien et ressentir leur tendresse. — Pas ...
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