Encore une histoire d'arroseur arrosé !
Datte: 13/02/2020,
Catégories:
fh,
hbi,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
nympho,
telnet,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
vidéox,
photofilm,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
hdanus,
Résumé de l’épisode précédent : David, aide-éducateur dans un collège, découvre en compagnie de Madame Nathalie, le professeur de français avec qui il prépare un atelier vidéo, les activités particulières d’un de ses collègues, Jean, au travers d’une cassette que ce dernier a laissée derrière lui. David en profite pour se rapprocher du professeur (à moins que ce ne soit l’inverse) et tous deux s’offrent un moment de grand plaisir. Pendant près d’une semaine, nous nous livrâmes à ces courtes rencontres quasiment tous les jours. Cela se passait toujours dans l’établissement, pas nécessairement dans sa classe, mais aussi en salle informatique ou divers autres lieux de service. L’excitation était la même. Nos attouchements se basaient sur le modèle de nos premiers ébats, sans pénétration. Elle disait ne pas être prête à franchir le cap ; elle était mariée, sans enfant. J’étais son premier amant, même si elle avait souvent été tentée auparavant. C’est le visionnage de la cassette et mon initiative timide qui lui avaient permis de sauter le pas. Nous continuions à nous vouvoyer, mais nous discutions sans tabou. Elle m’apprit que, depuis le jour de la découverte de l’enregistrement, Jean était au centre de tous ses fantasmes. L’outil vidéo aussi l’attirait. Elle m’avoua s’être ainsi servie du caméscope pour garder un souvenir de nos ébats. Elle aimait se voir ainsi. Je vis le film. Le contre-jour rendait les protagonistes impossibles à identifier, à mon grand soulagement. Ce ...
... jour-là, nous revoir, au format vidéo, me perturba et provoqua une excitation à la fois intellectuelle et physique dont elle se rendit compte. Elle me soulagea sur-le-champ par une longue fellation qui s’acheva comme par magie, à la fin de nos ébats sur petit écran. J’évoquai mes soupçons concernant l’usage que Jean faisait de la caméra. Sa réaction fut particulière, curieuse, amusée et très intéressée. Elle m’interrogea alors en permanence sur les sites, les outils qui le permettaient, les gens qui s’y livraient, sur les garanties de l’anonymat. Au bout du compte, je compris qu’elle voulait s’y essayer et qu’elle n’en démordrait pas. Ma vie sexuelle, jusqu’à sa rencontre, avait été, à de rares exceptions près, assez classique. Des rapports sans amour, très plaisant, mais sans fantaisie, ou des romances de courte durée. Je me sentais glisser sur des territoires nouveaux et tout cela finit par tourner à l’obsession dans mon esprit. Je compris que c’était aussi le cas pour ma très chère prof. Elle rattrapait vingt ans d’inhibitions, partielles, mais bien réelles. Elle souhaitait clairement se réaliser et se retrouver davantage en phase avec sa libido. Je la fis entrer un mercredi après-midi dans ma chambre. J’habitais encore chez mes parents. J’avais installé ce qu’il fallait : un ordinateur, deux écrans et mon caméscope en guise de webcam. Elle portait une jupe plus courte qu’à l’accoutumée et à chacun de ses pas je pouvais voir le haut de ses bas noirs. Ses lunettes aidant, elle ...