1. Aude soumise (5)


    Datte: 13/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... peut souffler le chaud et le froid dans la même minute. D’un naturel plutôt fermé, il est cependant très professionnel et le service tourne vraiment bien. Il est 16h30 quand, le cœur battant, je quitte mon bureau pour m’engouffrer dans l’ascenseur. Pour une fois j’appuie sur le niveau -1 et quelques secondes plus tard je débouche dans le parking sous-terrain. Je repère assez facilement la voiture de Serge, je manipule la télécommande de la clé et après un rapide coup d’œil alentour, je monte à l’arrière et verrouille les portes derrière moi… Je reste un instant ainsi pour m’habituer à l’obscurité de l’habitacle qui s’ajoute au manque d’éclairage extérieur de cet emplacement. Près de moi, sur le siège, il y a le sac déposé à mon intention par mon maître. Les mains un peu tremblantes, je l’ouvre et en sors une tenue noire qui semble être au premier coup d’œil d’un seul tenant. C’est une tenue intégrale en latex. Dans le sac, je trouve également un flacon de lubrifiant sec spécialement conçu pour faciliter l’enfilement de la tenue très serrée. Je décide de ne pas trop réfléchir, de toute façon, je n’ai pas envie de faire marche arrière au point où j’en suis. Les vitres de la voiture sont dextrement teintées comme Serge me l’a écrit. Je me déshabille rapidement et une fois nue je glisse l’ensemble de mes affaires dans le sac désormais vide. La tenue en latex me parait assez souple et un ...
    ... peu élastique. Elle s’enfile par le dos où il y a une grande fermeture éclair. Une autre fermeture éclair est présente entre les jambes et seule la tête est un élément isolé, une cagoule qui couvre tout sauf la bouche… Je m’installe et enduis mon corps du lubrifiant. Une sensation de chaleur m’envahit, je me prépare à être la soumise de mon maître. Au prix de nombreuses gesticulations, je parviens à enfiler la tenue et à la refermer dans mon dos. Elle est si près du corps que j’ai l’impression de ne rien porter sur mon corps nu. Il est déjà 17h15, j’essaie de faire vite. Pour finir, je passe la cagoule qui masque aussi mes yeux et vient se fermer par un lacet au niveau de cou. Il ne me reste plus qu’à attendre, je m’allonge sur la banquette arrière en repliant légèrement mes jambes. Je suis prête mon maître ! Je ne saurai dire combien de temps s’est écoulé, j’ai l’impression une éternité. Soudain, je sursaute, surprise par le clac caractéristique des portes qui se déverrouillent. J’entends la porte côté conducteur s’ouvrir, quelqu’un s’installe au volant. — Bonjour Aude, c’est parfait, tu es vraiment très belle et obéissante. Je te veux silencieuse jusqu’à nouvel ordre de ma part. J’espère que tu es bien installée, nous allons rouler assez longtemps. Sur ce, la voiture démarre et dans un léger crissement de pneu elle s’élance hors du parking dans la circulation parisienne. A suivre 
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