1. Bon anniversaire


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, hbi, couplus, cocus, anniversai, Oral pénétratio, fsodo, hdanus, hgode, hsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... pointe. Mon cul ne fait heureusement pas tant de difficultés. On me le retire et maintenant je suis dans l’attente. Qui d’Agnès ou d’Isabelle se fixe la ceinture et se transforme en un mâle en rut arborant une queue, excroissance qui choque de ces corps féminins tout en rondeurs. C’est Isabelle, c’est certain. Le geste est maladroit, imprécis. Agnès a acquis au fil des semaines une dextérité et une sûreté que le gode ne me transmet pas. Même le lubrifiant est versé trop généreusement et malgré la main qui cherche à l’étaler au mieux, un filet me coule sur les couilles. Mais qu’importe, au contraire sa maladresse donne une impression de première fois et il faudrait être aveugle pour ne pas trouver mon anus qui doit déjà s’être entrouvert. Voilà, elle présente la pointe, mais sa poussée est trop légère et malgré toute mon envie, le gode ne rentre pas. Je vais pousser pour l’aider, un comble, mais j’entends ma femme qui lui dit. — Allez, vas-y ! Il n’est pas en sucre. T’inquiète, son cul est rodé. J’entends une claque accompagner ces paroles et j’imagine que c’est la fesse d’Isabelle qui la reçoit car le gode bondit de surprise pour enfin entrer dans mon fourreau. Chaque fois, oui chaque fois, c’est une surprise. La première seconde, le cerveau primitif crie à l’erreur, à l’outrage, à la nature bafouée, mais la seconde suivante, le cerveau d’apprentissage rappelle qu’il connaît, qu’il a déjà vu, et alors celui des souvenirs érotiques arrive avec toutes les sensations qui ...
    ... viennent me submerger. Nom de dieu que c’est bon de se faire enfiler. Isabelle se prend au jeu et comme toute femme qui se retrouve membrée, attrape des réflexes masculins. Une queue c’est fait pour posséder et elle pousse maintenant pour me la mettre bien à fond. Elle se découvre dominatrice et, peut-être en une vengeance retenue, se charge de me baiser avec entrain. Très vite elle trouve le rythme et l’amplitude que le dard dur, gros, long et infatigable lui permet. — Ouvre la bouche, me dit une voix à l’oreille, voix de ma femme que je trouve toute guillerette. J’ouvre bien sûr, encore que sous les coups du mandrin qui m’encule je pensais l’avoir ouverte à la recherche de l’air qui me manque, mais immédiatement quelque chose y entre. Je ne suis pas parti au point de ne pas reconnaître un sexe d’homme, celui de Marc bien sûr, qui a décidé, ou que ma femme a décidé, de venir participer au festin. Qu’il est loin le temps où j’ai touché une autre bite que la mienne. Déjà c’était celle de Marc, bite toute fraîche, même pas déniaisée, n’ayant pas encore investi la chatte d’une femme. Je découvre vraiment la douceur de la peau de ce gland si gros, véritable champignon, apte à ramoner des conduits humidifiés de sucs féminins. Moi je n’ai que ma salive à lui proposer, et peut-être une langue agile mais aussi des lèvres qui devraient pouvoir l’enfermer dans ma bouche. — Suce-le bien, mon Chéri, m’invite encore ma coquine de femme. Je l’imagine en spectatrice attentive du spectacle que je ...