1. Bon anniversaire


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, hbi, couplus, cocus, anniversai, Oral pénétratio, fsodo, hdanus, hgode, hsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... essayer.— Avec… Mais où… Mais avec qui ?— Allons Chérie, rassure-toi, je n’ai fait qu’utiliser ton gode. Un moment elle reste stupéfaite, mais elle se ressaisit et demande, presque hilare. — Le gros ou le petit ? Et comme elle sent bien que sa question est trop technique : — Et comment c’était ? Je décide de continuer dans la vérité : — Le petit, bien sûr. Et pour répondre de savoir comment c’était, la réponse est « intrusif mais décevant ». Alors ma femme me sidère par son à-propos. — Mais c’est normal. Pour nous les femmes, il faut toute une préparation pour apprécier la sodomie. Le plaisir vient autant par l’homme, que par son sexe. J’imagine que c’est pareil pour vous, pour toi.— Tu as sûrement raison. J’ai une femme exceptionnelle, ouverte d’esprit et constructive. Merci Agnès chérie de ne pas me ridiculiser. — Je regrette, ajoute-t-elle.— Quoi ? Tu regrettes quoi.— Oh, c’est tout bête, pendant longtemps j’ai voulu te prendre avec un doigt, mais je n’ai jamais osé, de peur que tu me prennes pour une cochonne.— Ah, je ne savais pas. Je suis désolé. Et avec un petit rire, Agnès clôt la conversation en disant et en m’embrassant dans le creux du cou. — Mon mari a perdu sa virginité. Mon mari est un coquin et je ne le savais pas. Le monde ne s’est pas arrêté de tourner depuis cet incident. Dès le lendemain, chacun a repris le cours de sa vie et nous avons reçu nos amis comme d’habitude. C’est seulement le vendredi suivant que j’ai vu les conséquences. Je suis allé me coucher, ...
    ... comme d’habitude assez tard et Agnès avait déjà éteint la lumière. À nouveau elle est venue contre moi, charmant contact, prémisse d’une agréable fin de soirée. La nuit est chaude et elle n’a pas mis sa nuisette. Ses seins caressent mon dos. — Alors, Chéri, toujours dans tes vidéos ? Pourquoi nier ? — Oui.— Des nouveautés ?— C’est difficile d’innover.— C’est vrai ? Ne dis rien. Laisse-moi imaginer. Un homme est sur un lit. Une femme, magnifique, port de reine, poitrine ferme dans une brassière noire, string minimum. Elle s’avance. Ses mains se promènent sur le corps de l’homme, s’attardent sur les fesses, y répandent un liquide huileux et… Tout en me contant son histoire imaginaire, Agnès ne reste pas inactive. Doucement mais fermement elle me pousse et m’invite à me coucher sur le ventre. Moi aussi je sens un liquide froid couler sur mes fesses… — Elle étale lentement, lentement le liquide en insistant dans le sillon. Les fesses brillent à la lumière. Une main se plaque sur les reins de l’homme, l’autre se glisse entre le corps et le drap. On devine au sursaut de l’homme qu’elle vient de se saisir du sexe qu’elle trouve… qu’elle trouve… en érection. Ma femme est une narratrice active. Chacune de ses paroles n’est que la description de ce qu’elle fait. Je suis l’homme de l’histoire. Elle est la femme imaginaire. C’est à la fois réel et irréel. Bien sûr qu’elle trouve un sexe en érection. Quel homme résisterait à ce genre de situation ? — Elle caresse le sexe qui prend encore ...
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