Bon anniversaire - Histoires de Sexe

Bon anniversaire

... venir dans mon cul. Bien plus agréable que pour mon essai en solitaire. Doucement je me laisse porter par les mouvements qu’impose mon enculeuse qui se prend au jeu. C’est bon de n’être qu’une chose entre ses mains. Je sens ma jouissance venir, je sens mon sperme monter et jaillir, pour aller s’étaler sur le drap. Agnès emportée par son élan me pousse une dernière fois, si fort que je me retrouve à plat ventre, maculé de ma propre semence, le gode encore fiché dans le cul. Quelques minutes plus tard, toilette faite et draps changés, nous sommes allongés côte à côte dans le noir. Chacun cherche le sommeil qui ne vient pas. Agnès parle. — Tu sais, mon Chéri, moi aussi je peux avoir des envies particulières. Alors, sans vraiment réfléchir, je réponds. — Mais tu as aussi Marc pour cela.— Comment ? Qu’est-ce que tu veux dire ? Qu’est-ce que Marc vient faire là.— Mais parce que Marc est ton amant. Elle s’étrangle, tousse, bouge. Enfin. — Allons Chéri, tu divagues.— Je sais Agnès que tu es la maîtresse de Marc. Ne nie pas, je le sais. Rassure-toi, je ne vais pas te faire une scène de mari jaloux. Long silence. — Ah ! Tu es au courant ! Mais depuis quand, depuis quand sais-tu ?— Depuis le début et même avant.— Quoi ! Avant, avant quoi ?— Même avant que tu deviennes vraiment sa maîtresse, avant la première fois.— Mais c’est impossible, comment peux-tu savoir que je vais te tromper avant même que je l’imagine ?— Marc et moi, on l’avait envisagé.— Quoi ! Quoi ! Ça veut dire quoi, ...

... envisagé ? Moment délicat. De toute façon, je ne peux pas reculer. Encore une fois, il faut que je fasse le malin alors que cela aurait été bien plus simple de juste accepter le cocufiage. — Eh bien… Un jour… Marc et moi…— Cela suffit, ne tourne pas autour du pot, sinon, sinon…— D’accord. Donc Marc et moi, on s’est bien aperçu que le désir diminuait dans nos couples ! C’est normal. Cela ne veut pas dire que nous ne nous aimons plus, mais l’usure, la connaissance de l’autre, etc., bref on s’est dit qu’il fallait ranimer la flamme. Prendre des maîtresses ? Raisonnement égoïste et dangereux car vous aussi pouviez prendre un amant ! Mais au fait, Chérie, tu ne m’as jamais trompé avant Marc ?— Non, et toi ?— Jamais. Donc on s’est dit que quitte à prendre une maîtresse pourquoi pas la femme de l’autre.— Tu veux dire que…— Oui. Je savais qu’il t’appréciait et que toi aussi tu l’appréciais. Idem pour moi et Isabelle. Alors pourquoi chercher plus loin.— Attends, attends. Tu es en train de me dire que Marc et toi avez passé un marché où chacun prend la femme de l’autre comme maîtresse. Mais, c’est fou. Vous êtes des malades.— Mais non, c’était la meilleure solution. La preuve, cela a marché et cela fait, combien, six mois que cela dure.— Cinq, s’il te plait. Moi, j’ai résisté un mois à son baratin.— C’est vrai, je me suis demandé si tout n’allait pas s’effondrer à cause de toi.— Quoi, ça c’est la meilleure, j’aurais été coupable de ne pas te tromper ! Mais je comprends maintenant toutes ces ...