1. Initiation au SM d'une épouse.


    Datte: 14/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe

    ... yeux bandés. Mon collier de cuir fut crocheté soudainement par une lanière, certainement une laisse qu’on tira pour me diriger vers une partie de la salle. Des mains, se posèrent sur mon corps, où était Alain? Ils ne parlaient pas et ne faisaient que de me tripoter. ne me parlait pas. On m’allongea sur une table froide et l'on m’attacha les poignets et les chevilles aux quatre coins. J’étais là, offerte à je ne sais qui, à je ne sais quoi. Des mains inconnus me déshabillèrent. Je me retrouvais nue, exposée aux regard de cette assemblée de pervers et pour le plus plaisir de mon mari et Maître.« Elle est magnifique exposée votre soumise cher ami et de surcroits elle magnifique avec des courbe qui donne envie de malmener. »J'aurais voulu crier et demander d'arrêter cette humiliation mais, le bâillon m’en empêchait. Je sentis une sensation de chaleur sur mon sexe, des doigts le parcouraient, le pénétrait. Je mouillais. Soudain, je sentis un objet qui me pénétrait. Il coulissait lentement de plus en plus profondément en moi. Ma respiration s’accélérait à chaque mouvement de cet objet. Puis on me l’enleva pour le remplacer par un objet plus rugueux et beaucoup plus large. La jouissance que j’essayais de réfréner ne se fit plus attendre. Mes jambes et l’ensemble de mon corps étaient sous l’influence de spasmes violents. On me détacha et on me positionna sur la même table à quatre pattes. Je fus rattaché, et, cambrées de façon à être la plus offerte possible. Mes deux orifices ...
    ... furent sollicités à nouveau. On me lubrifia et je ressenti la même sensation qu’avec Monsieur ARNAUD, mais un plug encore plus gros pris place entre mes fesses. Il entra sans réelles difficultés, offrant la vue de cet orifice si étroit à ces hommes. J’ai senti que plusieurs hommes s’attroupaient autour de cette table de torture. J’étais totalement exhibée, à la merci d’inconnus. Des commentaires fusaient autour de moi. Tous plus ou moins humiliant et crus. Puis vinrent s’abattre sur mes fesses de cuisantes fessées, comme pour me punir de l’image de plaisir que je renvoyais à ces mâles dominants qui ne le toléraient pas. Mon supplice continua, les coups étaient plus rapides, plus précis. Mes fesses s’échauffaient et devaient avoir pris une couleur rouge maintenant. Puis tout s’arrêta, me laissant dans cette position des plus humiliantes. De longues minutes passèrent, ma croupe tendue vers ces mâles qui devaient s’en accommoder. Des cris féminins se faisaient entendre. D'autres filles devaient subir des supplices. Était ce de la torture, des cris de plaisir, je ne savais plus. Le pressentiment que mon tour allait arriver me torturait. Qu’allaient ils me faire ? J’allais sans aucun doute être à nouveau humilier, traitée comme une chienne, un objet de tous les vices, sur lequel toutes les pratiques sont permises. J'entendis des pas arriver à proximité de la table qui m’avilissait. Un homme ôta mon bandeau et mon bâillon. Ils étaient tous masqués. Je fus surprise du spectacle ...
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