Sous les glaces d'Encelade
Datte: 14/02/2020,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
grp,
asie,
Collègues / Travail
voyage,
Masturbation
Partouze / Groupe
journal,
sf,
... bander encore, répandre de nouveau son sperme, et ainsi de suite pendant des heures, infatigablement, la plupart du temps dans la totale obscurité. Un vrai satyre qui m’a successivement prise par mes trois orifices, y laissant à chaque de fois un peu de son nectar d’homme, avant de repartir à l’assaut sans nous accorder la moindre pause. Une fois sortis de mon sac de couchage qui nous maintenait en place, mais dans lequel nous avions trop chaud, serrés l’un contre l’autre, nos corps évoluaient au hasard dans les trois dimensions, et parfois il nous arrivait de nous cogner contre les murs, pour rebondir dans l’autre direction, aveugles comme Priape dans son aquarium. Nous avons expérimenté toutes les positions imaginables, dont la plupart sont pratiquement impossibles sur la Terre, dans des conditions gravitationnelles normales, à moins d’être des acrobates du sexe. Nous n’avons pas dormi une seule minute, bien qu’à certains moments, nous baisions avec lenteur et régularité, comme des somnambules, comme des automates à ressorts, et je me demandais si je vivais un rêve, ou bien si j’étais déjà morte et montée au paradis lubrique des astronautes égarés dans la luxure au fin fond du système solaire, ou si c’était la réalité. Au milieu de la nuit, nous avons eu soif et nous avons encore bu à la gourde de cette eau du désir qui rend fou. Quand j’ai allumé ma lampe, j’ai vu que ses yeux noirs étaient injectés de sang. Les miens aussi, dans le petit miroir. Cet aspect sauvage m’a ...
... effrayée. Je ne me suis pas reconnue. Sous ma chevelure ébouriffée, mon regard avait quelque chose d’inhumain, comme une panthère, ou un serpent. Une fois désaltéré, il a plongé sa tête entre mes cuisses et il m’a sucé le clitoris pendant que je buvais. Chaque gorgée du liquide était accompagnée d’une vague de volupté, et la dernière celle de l’orgasme. À ce moment-là, j’ai décidé de lâcher prise. Lui et moi formons un drôle de couple. Je me souviens avoir joui d’innombrables fois, à faire brûler mon ventre. J’ai dû crier à plusieurs reprises ; les autres doivent se poser des questions. Ou bien vivre la même chose. Il nous a fallu un effort surhumain pour finalement nous rhabiller et aller rejoindre les autres pour le petit déjeuner. Ils n’ont fait aucun commentaire sur nos mines défaites et les leurs ne valaient pas mieux – sauf l’innocente Xia, fraîche comme une rose matinale. Les regards échangés entre John et Cassandra en disaient long. Jeudi 4 mars La journée d’hier a été calme, pour une fois. J’ai demandé à Xia de me remplacer pour le premier quart de nuit que je devais normalement effectuer, car je n’en pouvais plus et avais grand besoin de dormir. Je me suis couchée en espérant que le bouillant Charles-Édouard ne viendrait pas. Enfin, s’il était venu, je l’aurais accueilli dans ma cabine pour passer un moment câlin avec lui ; pas toute la nuit, si possible. J’étais très fatiguée et ne savais plus très bien où j’en étais. Toujours est-il que j’ai dû me masturber dans ...