1. Le choc du passé et la promesse d'un avenir radieux


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhhh, fagée, couplus, extracon, anniversai, Collègues / Travail Oral fist, double, Partouze / Groupe confession, totalsexe, couple+h,

    ... le sucer, mais avec inexpérience et "du bout des lèvres" comme tu l’as écrit dans ton récit. Mais un évènement va changer cela. Je me sentais très coupable de cette relation et j’allais te l’avouer, car je n’ai jamais rien pu te cacher. Aussi, un vendredi soir, je sors plus tôt du travail pour faire quelques courses et préparer un repas d’amoureux. Je voulais te faire la surprise, je suis rentrée sans faire de bruit et je t’ai surpris en grande conversation téléphonique avec cette garce de Gisèle, échangeant sans pudeur des phrases, je m’en souviens comme si c’était hier, comme : "Attends ma belle, prépare ton petit cul" ou " Mon gland va te ramoner les amygdales". Je ne sais pas ce qui m’a fait le plus de mal, le langage cru ou ce qu’il sous-entendait. J’étais furieuse et tout le weekend j’ai fait la gueule et j’ai vraiment pris la décision de me venger. Tu sais, Robert, comme je peux m’obstiner une fois que j’ai décidé quelque chose. Dès le lundi, avec l’aide de mon amant, j’ai entrepris une nouvelle relation amoureuse. J’avais un problème pour accepter son sexe dans ma bouche sans avoir de renvois, alors je suis devenue « Anne aime bien les sucettes » comme on me taquinait au travail car, du matin au soir j’avais une sucette dans la bouche, longue ou ronde, que discrètement je poussais le plus loin possible pour m’habituer. Cela parait inventé, mais je vous assure que ça marche. Chaque jour, je faisais des progrès, pour le plus grand plaisir d’Arthur. Et lorsque j’ai ...
    ... enfin réussi à l’accueillir entièrement, mes lèvres butant sur ses testicules, j’ai été fière comme si j’avais gagné un concours. Je pouvais enfin amener mon amant au plaisir, uniquement en le « suçant » (mais non ce n’est pas un mot vulgaire), et je jure qu’il n’y a pas de plus belle récompense que de sentir monter la jouissance le long de sa verge et de le sortir précipitamment pour éviter qu’il crache dans ma bouche, sida oblige. Depuis ce jour, à chaque fellation, je me faisais un devoir de recevoir son sperme sur la poitrine ou le visage, en évitant les cheveux. Désolée, chéri pour ma sincérité, mais il y a prescription ; et toi à l’époque… ? J’avais un problème avec la sodomie, mais non, en réalité ce n’était qu’une appréhension, une sorte de refus, un tabou judéo-chrétien. Arthur m’a patiemment apprivoisée, jouant de la langue sur ma rosette, glissant subrepticement un doigt puis deux dans mon conduit alors qu’il me pilonnait par-devant. Et un jour, sans crier gare, au lieu de passer par-devant, il est passé par derrière. Je ne vais pas dire que je n’ai rien senti, comme on le lit bien souvent, mais c’était très supportable. Et là, j’ai découvert un autre monde. L’expression « se sentir pleine » signifie vraiment quelque chose si cette chose est dans votre cul (excuse ce mot mais, dans cette situation, c’est le seul qui me vienne). Je comprends que les hommes aiment cet endroit car ils doivent se sentir plus à l’étroit et leur verge pressée sur toute la longueur. Arthur, ...
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