1. Cauchemar ou presque… (3)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mon visage, je n’en ai pas fini avec toi. Non, je ne briserai notre baiser que pour t’en donner un autre, sur d’autres lèvres. ptlpeexk Où est- donc cette assurance, Marie, maintenant que tu caches ton visage alors que je te débarrasse de ta culotte. Elle est où cette expérience si supérieur maintenant que tu resserre tes cuisses pour me cacher cette intimité presque imberbe. Laisse- moi les retrouver du bout de ma langue dardée, laisse- moi te questionner sur cette bouche qui suinte ton désir. Hooooo mon amie, quel est donc ce feu qui me consume, cette fièvre moi qui n’est jamais osé poser un œil sur une autre femme. C’est qui cette chienne à quatre pattes entre tes cuisses qui te lape, te lèche, étend sa bave sur ton pubis et ton entre- jambe ? Qui est cette femme qui emplit la chambre des bruits mouillés de sa langue fouillant ta fente ? Que m’as- tu fait Marie ? Comment m’as- tu transformée en cette furie qui frotte son visage sur toute cette part de toi que je n’ai jamais pu croiser du regard ? Tes sécrétions couvre tout mon visage, voile ma raison. Je te mange, je te bois, je m’enivre à ta source. Chacune de tes réaction me guide, me dis où je dois allez, ce que je dois faire. Ton corps m’explique ce que tu aimes, ce que tu veux. J’en oublie la connaissance de mon corps de femme pour tout apprendre du tien. Nous ne sommes plus que gémissements, soupires, râles. Au bout de ma langue tu te contracte et te laisse aller. Je m’enfonce dans ton antre, revient sur ton ...
    ... clitoris. Je te baise de ce sexe sorti de ma bouche et te caresse ensuite. Tu montes plus haut, tu montes plus fort. De tes cuisses à ton pubis, partout j’enfouis mon visage, mon nez, ma langue. Partout je me frotte et m’insinue jusqu’à me délecter du parfum acre du sillon serré de tes fesses. Que j’aime ces gémissements quand, enfin j’appuie sur ce point qui te fait réagir. Que c’est bon d’oublier mes tabous futiles, maintenant qu’il n’existe plus que ton plaisir et le mien. Je m’acharne sur toi, je m’entête. Je veux te faire exploser, je veux te faire jouir. Je veux te montrer que je suis capable de m’abandonner et t’emmener là où j’ai toujours eu peur d’aller. Je suis une femme, une mère, une amie, et je te fais crier, hurler ton plaisir. Tu m’as emmenée dans cette parenthèse étrange de ma vie si ordonnée pour que je prenne le temps de te donner un plaisir que je n’ai jamais reçu. Je t’entends me dire combien tu m’aimes. Je t’entends me remercier, t’excuser. Et à contre cœur je quitte les parfums de ton intimité pour t’embrasser de nouveau et partager cette union que j’imaginais contre nature. Tes mains se pressent pour, à mon tour, me déshabiller. Nos langues ne se quittent plus pendant que un à un mes vêtements glissent, s’envolent. J’ai l’impression d’être une enfant contre ce corps si chaud, si fort comparé au mien. Nos bouches collées, nos seins unis, nos ventre qui se cherchent, nos intimités détrempées, nos jambes emmêlées. Nous ne formons plus qu’une, une fusion de nos ...