1. Blue Horse Motel


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, fhh, couplus, extracon, hotel, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse,

    ... elle a ouvert sa bouche, arrondie de délice. Elle passe la langue sur ses lèvres. Elle s’appuie sur mes pectoraux, qu’elle caresse de ses longs doigts. Je la contemple avec désir. Sa beauté me submerge. Maintenant, je sens l’homme qui bouge dans son cul. Moi aussi, je m’active. L’étroitesse de sa chatte me la fait ressentir comme jamais. De l’autre côté de la paroi vaginale, je sens le membre énorme qui a repris ses coups, dans un rythme furieux. L’homme est profondément inséré. Il travaille le cul de Natasha avec souplesse. Son mouvement augmente mon plaisir et j’accélère le rythme, moi aussi. À chaque avancée, je dois forcer le passage étroit pour ne pas me faire éjecter. Natasha frissonne de partout. Elle respire par petites saccades. Tout à coup, dans une apogée de sensations, elle porte la main à son clitoris. Elle se glisse avec difficulté entre nos pubis, presque soudés. Je la sens bouger les doigts latéralement, avec frénésie. Elle est prête à jouir. — « Je vous en supplie, jouissez avec moi! », hurle-t-elle. À peine a-t-elle prononcé ces paroles qu’un grand râle de plaisir ...
    ... synchronisé se déverse dans la pièce. La rencontre est parfaite. Je sens les contractions orgasmiques dans la vulve de Natasha. De l’autre côté de la paroi, le membre immense de l’homme m’écrase en explosant lui aussi. Puis, sans résistance, je m’abandonne moi-même à l’éruption de ma semence au fond d’elle. Natasha, l’homme et moi, nous nous désintégrons littéralement en millions de particules informes. Mais, lorsque je rouvre les yeux, l’homme se retire du cul de ma femme. Cet être, qui m’apparaît tout à coup surhumain, continue de branler son sexe démesuré. Il n’a pas fini d’assouvir son plaisir. Après un va-et-vient soutenu, il lâche un grondement bestial et répand son sperme chaud sur le dos et les fesses de ma femme, admirative, qui tourne le visage pour apprécier la scène. Les longues giclées s’étirent, l’une après l’autre, jusque dans ses longs cheveux bruns. Finalement, j’observe les épaisses coulées qui se liquéfient déjà, et coulent le long des côtes de Natasha. Alors, au bout de mes forces, je referme les yeux. Plus rien n’existe que la vie qui bat à travers mes veines et mes tempes. 
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