1. Echanges de mails entre hommes (6)


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Gay

    Suite de nos échanges; c’est à mon tour d’écrire. Moi: C’est la deuxième fois que tu ne réponds pas à mon attente. Tu m’emmènes chez un certain Paul, qui habite la campagne, alors que j’avais imaginé une séance au sex-shop, avec le patron, la patronne, un ami à eux (Paul si tu veux), nous deux, et bien sûr des chiens. Je ne vais pas te faire recommencer, mais vais te dire, en résumé, ce que j’avais imaginé. On se retrouve dans la grande salle, cinq humains et trois chiens. Il est quatorze heures, en ce beau dimanche, et on a tout l’après midi devant nous. On est tous à poil et tu vas t’occuper des chiens, un à la fois, chacun leur tour. Tu vas sucer le premier, lefaire jouir de nombreuses fois dans ta bouche, jusqu’à lui vider entièrement les couilles. Tu vas ensuite te faire monter par le deuxième, qu’il soit bien imbriqué en toi, et qu’il se vidange dans ton fion jusqu’à enfin débander, et pouvoir se retirer. Tu vas sucer le troisième, et puis on remet ça. Les deux que tu as pompés vont t’enculer, et tu vas sucer celui qui t’a aimer. Pendant tout ce temps , plusieurs heures, on s’amuse, nous les trois hommes, avec la patronne. On la baise, seul, à deux, à trois. C’est cette dernière solution qu’elle préfère, trois bites pour elle seule, une dans chaque orifice. Pour autant on se la fait seul à seule, ce qui permet aux deux autres de se reposer la queue. Ils en profitent alors pour se faire du bien entre hommes. On a les mêmes goûts, Paul, le patron, et moi même: on aime ...
    ... autant les hommes que les femmes. On ne se fait pas mettre, mais on aime bien se caresser entre mâles, s’embrasser, se sucer. Lorsque le dernier chien te saillit, on arrête nos exercices pour reprendre nos forces. On attend qu’il ait terminé et on va tous t’enculer, nous les hommes avec nos belles bites, et la patronne avec un gode ceinture démesuré. Ton trou depute est rempli de sperme, et on peut entendre les clapotis de nos sexes entre tes fesses. On se met du foutre partout, sur le manche, les couilles, le ventre, les cuisses, et après avoir joui en toi on se fait nettoyer par ta bouche gourmande. Voilà ce que j’aurais aimé, grosse poufiasse. On va maintenant passer à la suite. Je n’ai pas de nouvelle du petit jeune que j’ai baisé au sex-shop, et je décide d’y repartir le jour de la semaine où il m’a dit être là; tu viens avec moi, bien sûr. Le minet est là, et il s’excuse de ne pas m’avoir appelé, me dit qu’il ne s’est plus souvenu de mon nom pour m’appeler. Il est heureux de me retrouver, et me propose à nouveau d’aller en cabine. J’accepte sans hésiter, mais auparavant je veux m’assurer que les clients vont s’occuper de toi. Il y a dans le sex-shop un endroit dans le noir absolu. J’ai une lampe de poche et éclaire l’endroit. C’est un couloir sans issue, avec une banquette et des glories holes. Je t’y fais entrer, et enlève ton string. Je te mets un collier et un anneau qui enserre ta bite et tes couilles. Ils sont tous les deux fluorescents, et tout le monde pourra te ...
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