1. Julia, de travesti à jouet sexuel, de jouet sexuel à épouse docile (1)


    Datte: 17/02/2020, Catégories: Transexuels

    Bonjour à tous. Cette histoire est un fantasme sans l’être. Il serait plus exact de dire que c’est une réalité romancée, réarrangée et réécrite. Je vous souhaite autant de plaisir à la lire que j’en ai eu à la vivre. Alors qu’il se retire de moi avec précipitation et sans égards, laissant mon corps dégouliner de ses sécrétions, pour retourner devant son écran de télévision, je tourne la tête sur le côté, essayant de retenir mes larmes et fixant notre photo de « mariage ». Je sais qu’il y a eu une époque où, quoi qu’il en dise, il avait des sentiments pour moi. Peut-être celle où je n’en avais pas… J’ai été une bimbo écervelée, je ne m’en souciais pas, et maintenant que je suis une femme, j’ai peur qu’il soit trop tard… Non, je ne suis pas à proprement parlé une femme… Je suis sa sex-slave, son esclave sexuel, sa chose, sa lopette, sa tapette, sa fiotte soumise, sa sissy, sa salope comme il aime m’appeler quand il me baise. Le reste du temps, il m’appelle Sophie. Et nous sommes mariés. Je sais que ça peut surprendre quand on me voit comme ça, allongée sur le ventre, le string encore rabattu sur la fesse, l’orifice suintant, mais il n’a pas toujours été comme ça… Nous nous sommes rencontré sur internet… Comme beaucoup de gens avant nous, comme beaucoup de gens après nous… J’étais sur un site de tchat gay, sous le pseudo Juila-Trav-91. Parce que en tant que travestie, je me faisais appeler Julia, et que je vivais dans le 91… Nous avions beaucoup discuté, il prenait le temps ...
    ... de me dire ce qu’il souhaitait, et de me demander ce que je voulais. Et pour ma part, je ne voulais qu’un coup d’un soir, me faire défoncer le cul bien comme il faut et rentrer chez mes parents en boitant… Ça a duré presque une semaine, nuits et jours. Moi, j’étais en vacances, et lui patron de sa propre boite. Je reconnais qu’il m’a bien travaillé au corps, et pour un peu j’y serais allé juste pour qu’il me lâche… Sauf qu’il avait pensé à m’envoyer des photos et des vidéos qui m’avaient mises « l’eau à la bouche », et inventé quelques scénarios qui me rendaient folle d’anticipation… Donc, un jeudi soir, j’accepte son invitation. Pas besoin de retravailler mon rasage et mon épilation, je n’ai jamais été très velue… Et puis comme j’avais eu ce que j’appelais une séance de bourrage deux jours avant (J’ai eu une dizaine de partenaires de suite qui faisaient la queue dans une cave), j’étais nickelle, et mon orifice était tout prêt. Je fouillais dans ma collection de lingerie, de vêtements et de chaussures, et je me décidais pour un ensemble bustier porte-jarretelles/tanga en dentelle noire, des bas de la même couleur, une jupe et un chemisier blanc pour qu’on les devine au travers et des escarpins noirs. Si je partais de chez mes parents habillé en homme, je portais toujours la lingerie en dessous. Et pour gagner du temps, ma perruque et ma fausse poitrine étaient toujours dans le coffre de ma voiture, avec ma trousse de toilette spéciale. J’ai conduit jusqu’à quatre cent mètres ...
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