1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1188)


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... animaux qu’il élevait mais des esclaves humains tous émérites dans le domaine du ponyplay ou pony-girl, pony-boys ! Un des exercices que j’eus donc à faire consistait à apprendre à marcher comme un cheval de parade. Il m’installa un appareil qui me forçait à remonter très haut un genou tandis que le pied opposé se dirigeait et se posait au sol. Les coudes devaient être pliés, les poignets de chaque côté de ma poitrine, tête et dos bien droits. Il me fit aller ainsi d’abord au pas, puis il accéléra depuis une commande les mécanismes de la machine jusqu’à me faire aller au petit trot. C’était un exercice très difficile, et mes jambes n’avaient pas l’habitude de travailler autant, ce qui me provoqua de vives douleurs. Mais je ne disais rien, je subissais en silence, attendant avec impatience à cause de l’effort physique de pouvoir passer à autre chose, même si je l’avoue, cela m’excitait de me sentir un animal. Durant les repas, quand je n’étais pas occupée à le servir je devais rester sous la table à le sucer, peu importe la vigueur de son érection, et quand arrivait le dessert, il me déposait une assiette au sol pour que je puisse également me restaurer. Quand je faisais le ménage, régulièrement, il passait me voir, et sans que je puisse m’interrompre dans mes tâches, il me fouettait durant des temps variables. Peu importait le moment de la journée ou de la nuit, je devais parfois tout arrêter de mes activités pour lui servir de vide-couilles ou d’urinoir. Je retrouvais des ...
    ... traits communs avec le Maître. Tous deux étaient très exigeants, sans pour autant demander des choses impossibles, tout en nous poussant à nous dépasser pour Leur Satisfaction. Parfois la nuit, je sentais ma laisse tirer pour me sortir de ma niche et le soulager de maintes façons différentes, Ainsi il me prit à tous moments par tous les orifices, soit sur la pelouse devant ma niche ou durant que je fis la vaisselle, debout appuyée à l’évier, soit en levrette du temps où je frottais le carrelage à quatre pattes, sur une table, en tout lieu de la maison, etc, etc … Je ne compte donc pas les nombreuses saillies. Je fus parfois autorisée à jouir et d’autre fois, nullement, c’était toujours selon son humeur de m’octroyer du plaisirs orgasmique ou pas … Si vivre ici ces quelques jours étaient respecter une tradition et obéir au Maître, j’étais tout de même impatiente de revenir au Château ! Pas que je n’éprouvais du plaisir à être ce que j’étais, mais tout simplement parce que Son propriétaire me manquait, ma vie à Ses pieds me manquait ! Et je savais que j’y retournerai pour que ma vie change. J’avais bien compris que ce que je vivais avec l’oncle Louis était un petit aperçu de ce que j’allais vire avec le Châtelain, mon futur époux et Maître à vie. Je savais, puisqu’Il me l’avait déjà dit, que j’aurai faire Son ménage, Ses repas, à Le servir en particulier, en tant que Sa femme esclave. Et cela me donnait encore plus envie d’atteindre ce jour béni ! La veille de notre retour, je ...