1. Ma chair est tendre


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fhh, couple, cocus, nympho, grossexe, groscul, parking, cinéma, toilettes, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme ffontaine, Oral fdanus, fsodo, confession, couple+h, cocucont,

    ... souhaitais qu’il vienne chez nous afin de s’occuper d’elle devant moi et, si possible, qu’il accepte aussi de se laisser filmer pour l’occasion. Manuel me répondit qu’il était au courant puisque Sylviane lui avait tout expliqué. Il venait d’ailleurs d’accepter « Avec grand plaisir », indiqua-t-il. Nous convînmes de quitter les lieux dans la foulée. Manuel partit donc chercher sa veste au vestiaire et je demandai plus de détails à Sylviane. — Qu’est-ce que vous avez foutu là-dedans ? Sylviane s’approcha de mon oreille et me confia qu’elle venait de palper la plus belle bite qu’elle n’avait jamais vue. Sa conclusion me laissa pantois. — Tu avais bien raison, mon chéri. On peut dire qu’il y a vraiment du gros Monsieur, là. Elle était maintenant très pressée de rapporter une si belle prise à la maison. Manuel nous suivait en voiture. En route, j’ai senti que Sylviane avait déjà atteint un considérable degré d’excitation. Pour la pousser encore un peu, je demandai qu’elle me raconte la scène des toilettes. Elle me dit qu’elle était parvenue à entrer avec Manuel dans un des cabinets et qu’elle lui avait tout bonnement exposé ce que nous attendions de lui. Elle lui avait aussi et surtout dit qu’elle avait bien envie de voir ce qu’il avait dans le pantalon. Manuel avait paru un peu surpris du côté frontal de la requête, mais il avait civilement obtempéré et sorti de son slip un sexe d’une taille qui avait étonné Sylviane. Exactement le genre de morceau qui la faisait saliver. Elle ...
    ... avait alors entamé une palpation en règle de la chose, qu’elle me décrivit comme « un vrai manche de pioche » ! Elle conduisait doucement et j’ai fait remonter une main sous sa jupe. J’ai commencé à tâter le renflement de sa culotte et j’ai constaté que c’était les grandes eaux. — Tu mouilles déjà comme une vraie souillon, ma chérie, c’est totalement indécent et tu vas finir par nous saloper la voiture, lui dis-je à l’oreille, en frottant davantage le tissu de son slip pour l’enfoncer un peu plus entre ses deux grosses lèvres ramollies que je malaxais. Sylviane raffole de mes propos déplacés. Elle m’a depuis le début avoué que le son des mots grossiers, les évocations lubriques, les commentaires graveleux et autres insultes obscènes produisent sur elle un effet puissant. Alors je ne me prive jamais de lui susurrer les pires expressions qui me viennent à l’esprit lorsque je lui tripatouille la fente. Ça la rend folle. — Est-ce que tu l’as sucé un peu ?— Un tout petit peu. J’ai pas pu résister. Mais il y avait du monde, alors je l’ai juste senti et goûté vite fait, enfin tu vois…— Je vois surtout que tu es infernale…— Je sais. Mais je te jure, c’est vraiment un beau morceau. Déjà, j’ai réussi à m’arrêter à temps. C’était quand même pas trop discret. Tu devrais plutôt être fier de moi. Je la branlai de plus en plus fermement à travers la culotte. Je sentis fondre sa moule, son jus imbiber le tissu et me poisser mes doigts. Elle respirait un peu plus fort. Une odeur de sexe chaude ...
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