1. Te souviens-tu...


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fh, volupté, fsoumise, cérébral, Masturbation Oral 69, fsodo, tutu, ecriv_f,

    Je nous ai rêvé dans un appartement vide. Seul meuble : une chaise. Et je nous ai vus nous aimer fort, sur cette chaise instable, succomber aux caresses attendues et données. Je te voyais surtout passif, devenant mon jouet, objet de tous mes plaisirs. Je me suis vue encore toute vêtue et toi, d’une nudité déjà si indécente et affolante. Prête à perdre la raison, ivre de joie de t’avoir à ma merci. Tu étais assis les fesses au bord même de cette chaise si peu confortable et tu t’offrais si beau, si entier, fier et envieux. Tu attendais mes caresses que je tardais à te donner, je jouais, te caressais de mes joues, de mes cheveux aussi. Alors que mon visage et ma bouche allaient t’accorder les faveurs si délicieuses que tu aimes, je me gardais une main pour mon propre plaisir, et alors que je te léchais doucement et très lentement, juste assez pour te faire frémir, mais juste pas assez de manière à ce que tu sois toujours en attente et que ton désir monte encore et encore, je fouillais mon sexe doucement, mais sûrement. Je vagabondais en moi pour te faire goûter mes doigts ensuite. Alors que mon visage cherchait ton sexe sans le trouver (exprès), tu empoignais mes cheveux pour mieux me diriger, ta manière de supplier : tu ne pouvais plus attendre. Finalement comme par miracle mes lèvres venaient à la rencontre de ta queue, sans pour autant la dévorer comme je le souhaitais tant déjà ! Non, te faire languir encore, te faire croire que j’allais te donner le bonheur espéré, sans ...
    ... te le donner encore : jouer de toi encore un peu, t’exciter davantage. Je te voulais plus grand, plus gros encore. Lorsque finalement je t’ai aspiré, comme avalé, ce n’était que pour mieux lâcher prise rapidement. J’étais si excitée moi-même, je voulais ta bouche, tes lèvres, ta langue. Je t’ai donc levé, et à mon tour me suis assise en te faisant t’accroupir devant moi tout en écartant les cuisses ; j’ai posé les pieds sur tes épaules et relevé lentement ma jupe. Contrairement au supplice que je t’ai fait endurer, j’ai attrapé ta nuque et tes cheveux de mes 2 mains pour coller ta bouche à ma fontaine : — Bois ! Je voulais que tu boives… Tu as bu, longuement, tranquillement, tu m’as fouillée de ta langue et de tes doigts. Tu m’as cherchée puis trouvée. Notre danse d’amour a changé. Tu m’as retournée, j’étais debout, penchée sur cette horrible chaise, tu étais assis entre mes cuisses, ton visage enfoui dans mes intimités, tu me possédais, mais ça n’a pas duré. Je n’ai plus su résister à mes envies si grandes, à ma faim de te manger, te mordre, te goûter mieux, plus sauvagement, plus tendrement. J’ai repoussé notre meuble complice pour que tu puisses t’allonger et me suis vite retournée et assise sur ton visage. À mon tour me suis allongée pour aller à la rencontre de ta verge épaisse afin de te savourer lentement, vivement, agressivement parfois, mais si tendrement aussi. Tu as abdiqué et arrêté tes explorations divines. Ma joie résidait dans la tienne, je voulais ton bonheur, ...
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