1. L'insoutenable perversité de l'être


    Datte: 18/02/2020, Catégories: f, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, sm, fouetfesse, journal,

    ... ce n’était pas grand-chose et qu’il n’avait pas le temps de m’expliquer, puis il a raccroché. Je suis arrivée là-bas vers 18 heures et j’ai tout de suite été mal à l’aise. D’abord je pensais le retrouver, or il n’y était pas, et surtout Cathy n’était pas seule, deux amies présentes à la soirée étaient avec elle. Elles m’ont accueillie chaleureusement. Cathy était ennuyée parce que la veste d’équitation que Yannick et moi lui avions offerte était trop grande. Elle l’a essayée devant moi pour que je puisse en juger, car Yannick lui avait assuré que nous pouvions la changer. J’ai confirmé que nous avions cette possibilité, j’ai pris le vêtement et son emballage pour l’échanger. Cathy a insisté pour que je prenne un verre avec elles malgré les prétextes bidons que j’ai tenté de faire valoir. La conversation est rapidement revenue sur la soirée et l’une des amies m’a avoué : — Nous y avons peut-être été un peu fort en vous imposant cette mascarade de tribunal. J’ai rougi immédiatement, mais j’ai réussi à dire : — Ce n’était qu’un jeu, je crois que nous étions tous trop éméchés pour penser à mal.— Tout de même, ce n’était pas correct ! a affirmé l’autre.— Surtout que c’est toi-même qui a demandé à ce qu’on la dévoile totalement, a précisé la première.— Oh oui, je m’en veux ! Comment ai-je pu suggérer une chose pareille ? Elles étaient de la génération de Cathy, et continuaient à parler de cette scène sans sembler se rendre compte à quel point elles me gênaient. — En tous les cas, ...
    ... à défaut d’être correct, je peux vous assurer que le spectacle était charmant !— Oh oui, ma chère, vous avez une splendide chute de reins ! Les deux amies rirent de bon cœur, puis se ravisèrent devant mon désarroi. Cathy ne disait rien, elle souriait avec bienveillance, semblait-il, comme quelqu’un qui excuse à l’avance des paroles sans conséquence. Elle déclara enfin : — Je crois que je suis aussi fautive d’avoir accepté de jouer ce jeu-là. Pourtant je ne crois pas vous avoir fait mal, Alexandra, est-ce que je me trompe ?— Non, vous avez été très bien, ai-je réussi à articuler, toujours aussi écarlate.— Nous étions tous trop saouls, mais je sais me contrôler. Ne soyez pas trop honteuse, tout cela est sans conséquence et sera vite oublié.— Savez-vous que certaines personnes apprécient ce genre de traitement ? relança une amie.— Oui, bien sûr, renchérit l’autre, certaines femmes ont besoin de cela pour jouir ! Il y eut un silence qui ne m’avantageait pas et j’en profitai pour finir mon verre. Cathy voulut clore le sujet en lâchant : — Oui, mais Alexandra n’appartient pas à ce genre-là, n’est-ce pas, Alexandra ? Je fis non de la tête, très embarrassée, tandis que les deux amies s’exclamaient : — Non, sûrement pas, évidemment ! Sur cette déclaration, je me levai pour prendre congé. Cathy me raccompagna jusqu’à la porte. Au moment de me dire au revoir, elle posa ses deux mains sur ma taille, m’embrassa sur les deux joues et déclara : — J’espère que nous nous reverrons bientôt, je ...
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