1. Mes aventures de jeunesse


    Datte: 18/02/2020, Catégories: hhh, hagé, jeunes, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, Oral hdanus, hsodo, init, inithh,

    ... peine rentré chez moi, je m’adossai à la porte tout juste refermée et me branlai avec passion, déterminé à évacuer la tension insoutenable qui me tenaillait le ventre. Pendant cette nuit-là, je dormis mal. Je ne cessais de penser à ça. Aux 200 francs gagnés par Hubert, à sa queue giclant sous mes yeux, devant l’objectif. Je réalisai soudain que j’étais sur la photo. Je dus me branler une nouvelle fois tellement cette pensée m’excita. Un soir en rentrant, je trouvai une enveloppe kraft devant ma porte. Je l’ouvris et en sortis une revue. C’était une revue gay. En guise de marque-pages, un billet de 50 francs. J’ouvris et découvris une page des photos de ce jour-là. Hubert seul et une avec moi. Armand avait choisi la photo où mon regard était fixé sur la queue d’Hubert, giclant devant moi. Un post-it indiquait que, dévêtu, ce serait mieux payé. La photo était vraiment réussie. Armand se fit discret quelque temps et un vendredi soir vint m’inviter à boire un verre chez lui. J’acceptai car je le trouvais sympathique et, malgré notre différence d’âge, je m’entendais bien avec lui et lui confiais pas mal de choses. Il me servit un généreux whisky. — Ne crois pas que je veuille te saouler, dit-il en riant.— Pas grave, répondis-je, j’ai besoin de me changer les idées avant mes partiels. Ce verre me détendit. Armand vint s’installer à côté de moi. Tout en discutant, il posa sa main sur ma cuisse. Je ne fis rien. L’alcool m’avait désinhibé. Puis il posa sa main sur mon épaule et ...
    ... petit à petit, la glissa sous ma chemise jusqu’à atteindre mon sein. Ses doigts jouaient avec mon téton. Mes rares amants, sans doute trop jeunes, n’avait jamais fait cette caresse. Les pincements se firent un peu plus forts. Armand m’observait, je le laissais faire. Soudain, il me pinça plus fort et je ne pus réprimer un gémissement. Son autre main glissant à l’intérieur de ma cuisse remontait sur mon jean, jusqu’à toucher mon entrejambe. — Tu aimes ? me souffla-t-il à l’oreille. Je ne répondis pas. La main abandonna mon entrejambe, en glissant sur la bosse que faisait mon sexe et remonta sur mon ventre pour dégrafer ma chemise. Il commença alors à me pincer les deux tétons en même temps. Je commençais à onduler un peu car mon excitation croissait au fur et à mesure que sa caresse s’amplifiait. Soudain, il s’agenouilla devant moi. Il m’obligea à ôter ma chemise et dégrafa ma ceinture et me retira mon pantalon. J’étais nu, le sexe tendu. — Tu vois, ça t’excite. J’en étais certain. Brusquement, il écarta mes cuisses et je vis son regard scruter mes fesses. — Tu as déjà été sodomisé ?— …— Tu as aimé ? Il dirigea son majeur vers la raie ouverte de mes fesses et effleura mon œillet. Cette caresse me fit frémir. — J’aime les petites salopes comme toi, les saintes nitouches. Ça m’excite encore plus. Il se leva et se saisit de son appareil photo. Je ne quittais pas la position indécente dans laquelle il m’avait mis. Il commença à me prendre en photo. Le bruit de son appareil m’excitait ...
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