1. Je dévergonde ma mère... (6)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... serait un peu normal que tu me montres tout. Tu crois pas ?» Elle craque enfin. Son sourire et son regard ne sont plus ceux d’une mère. : « Oh mais tu es terrible toi ! Et puis quand tu me regardes avec tes grands yeux, je ne peux rien te refuser. De toute façon je savais que cela finirait comme ça. Tu veux voir la chatte de Maman, mon chéri ? Cela te ferait plaisir que je dégrafe mon body ? OK, alors regarde bien mon Amour... » Elle écarta les cuisses en grand et détacha habilement les trois clips en plastique. Bingo ! Je voyais enfin l’abricot de ma mère en réel. Il était magnifique, bien sûr. Très lisse, à peine fendu et surtout aucun poil à l’horizon. A part des grandes lèvres un peu distendues et légèrement proéminentes, on l’aurait prise pour une pucelle. L’entrée de sa grotte luisait assez pour dévoiler les sentiments qui l’animaient à cet instant. Je continuai sur le même ton. « Voilà. C’est bien. Tu ne vas pas le regretter. Je vais bien m’occuper de toi moi aussi. » Et je posai une main à plat pour envelopper sa chatte entièrement. Elle sursauta et émit un petit cri de surprise. Avec mon pouce, j’écartai un peu les lèvres et constatai : « Ca y est ! J’ai la preuve. Tu mouilles petite coquine ! Et pas qu’un peu. » J’avais à peine commencé à enfoncer mon pouce qu’elle dégoulinait déjà. Elle gémit doucement et ne tenta pas de me repousser. Je sentis que je pouvais me lâcher un peu plus. Très lentement, j’introduisis mon doigt en entier. « Je te remercie de t’être fait ...
    ... épiler. Tu ne peux pas savoir comme je suis fier que tu l’aies fait pour moi. Tu es si sexy. C’est bien pour me faire plaisir que tu l’as fait ? Dis- moi que tu t’es rasé la chatte pour moi. » « Oh mon chéri... Tu me fais du bien... Ta main est si chaude... Oui, je me suis fait épiler le minou pour toi, mon fils. Je me suis préparée pour te plaire. Ouiiii, vas-y, mon Christian. Tu me fais mouiller comme une folle.» « Je savais que tu voulais me faire bander. Je l’ai senti. Je te connais si bien. Je sais ce que tu aimes. Je vais te branler comme tu m’as branlé dans la voiture tout à l’heure. Oh Maman j’aime ta chatte ! J’ai envie de la goûter ! Oui, Nathalie, je vais te bouffer la moule ! » Je crois que c’était la première fois que j’appelais ma mère par son prénom. Je ne voyais plus que la femme, plus que sa belle fente bien humide. Je plongeai ma tête entre ses cuisses et avant qu’elle n’ait eu le temps de dire ouf, je lui suçai doucement le petit bouton. Ma mère a bien posé sa main sur mon front, comme un dernier sursaut moral, mais sans grande conviction. Je me suis donc appliqué à donner du plaisir comme jamais. Je crois que je n’ai jamais léché une femme avec plus d’appétit. Simultanément, à l’intérieur de sa chatte, j’avais remplacé mon pouce par le majeur et l’index, tournés vers le haut, paume vers moi. Les deux doigts étaient rentrés comme dans du beurre. Ainsi je pouvais atteindre une zone érogène bien connue pour provoquer une jouissance très forte. Il suffit en ...