1. Jessica, ma meilleure amie (8)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Hétéro

    ... touchai-je son clito que je sentis des flots de mouille ruisseler sur mes couilles. Je sentis ma jouissance monter à gros bouillon, et je l’annonçai à mon amie. — Oh putain Jess c’est trop bon je vais jouir ! — Oh oui vas-y mon cœur remplis moi ! Je veux sentir tes giclées en moi ! Tu seras le premier vas-y ! Je me répandis aussitôt en elle à grandes giclées et elle jouit encore une fois, en s’allongeant sur mon torse, les seins se balançant au gré de mes derniers coups de reins rageurs dans son vagin. On y était. J’avais joui en elle. Et des litres, me semblait-il. La dernière fois que j’avais joui dans le vagin d’une fille pour qui j’avais des sentiments (la mère de Jess ne comptant donc pas), c’était avec Myriam, mon ex. J’avais oublié combien ça pouvait fantastique. Quand ma queue s’extirpa de son sexe, le surplus de sperme dévala de ses lèvres à son périnée pour se répandre sur mon pubis. Jess ne bougeait plus, comme évanouie sur moi. Sa respiration était néanmoins profonde et régulière. Je la pris délicatement dans mes bras pour rouler sur le côté. Après un rapide nettoyage de nous deux avec des mouchoirs en papier, j’enlevai ses bas, la couvris de la couette pour ne pas qu’elle attrape froid, puis je vins me lover contre son dos. Une caresse de sa part sur ma cuisse m’avertit qu’elle avait repris conscience. Elle tourna la tête et je vis que des larmes perlaient sur ses joues. De joie ou d’amour, ou alors parce qu’elle avait toujours espéré que nous aboutissions à ce ...
    ... moment précis et que ce rêve était exaucé. Elle avança ses lèvres vers les miennes et s’ensuivit un baiser langoureux. Je bandais encore contre ses fesses et ce baiser me rendait d’autant plus excité. Je me dis que c’était dingue l’effet que me faisait cette fille. Mais il valait mieux ne pas aller plus loin vu l’intensité de notre dernière baise. Je flattai néanmoins sa poitrine tandis qu’elle frottait ses fesses contre ma queue, puis me caressait la queue et les testicules. — On se repose un peu ? proposai-je. Elle opina et se retourna pour se nicher contre mon épaule. Elle me caressa doucement le torse et m’embrassa à nouveau passionnément. — Il te reste un dernier trou à honorer, reprit-elle avec le sourire en descendant à nouveau sa main sur ma bite qui oscillait entre prise et perte de volume. Je ris en répondant : — Tu es vraiment insatiable ! — J’aime le sexe avec toi. Je t’aime tout court. J’ai de la chance de t’avoir comme ami et comme amant. Je la regardai avec circonspection. — C’est étrange que tu ne dises pas "petit copain"... — Tu as des sentiments pour moi, Ju, je le sais. Mais notre situation actuelle ne nous permet pas de nous considérer comme autre chose que des amants. Je... je vais peut-être mourir sur une table d’opération cet été. Je ne veux pas que tu souffres plus que comme un ami s’il m’arrivait quelque chose. A un autre moment, ça aurait été possible et crois-moi que ça me tue de te dire tout ça. Mais je ne veux pas de ton amour. Laisse-moi juste ...