1. COLLECTION BLACK. La pente fatale. (1/1)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... la salle je voyais des ombres quand j’ai commencé à le sucer, l’engin qui a déposé sur ma langue était plus que conforme à toutes ceux que j’avais vues de ce calibre et j’ai failli lui sauter dessus pour qu’il me prenne. Quant-il m’a placé en levrette me pénétrant, je suis devenue une chienne hurlante. Oui, messieurs-dames que je vois nous mater derrière cette vitre, je suis sa chienne, car il me remplit au-delà de ce que j’espérais, il m’a apporté deux orgasmes monumentaux avant de remplir sa capote qui devait être de taille XXL, voire 3XL. Je venais de basculer dans ma tête, car la plénitude que j’ai ressentie on fait que dans les jours suivants chaque fois que Laurent me faisait l’amour c’était bon, mais il me manquait cette impression de n’être qu’une entre la bite de Gilles et moi. Le mois suivant c’était à mon tour de proposer notre soirée et les filles ont bien compris que depuis un mois je me masturbais en pensant à la grosse bite que j’avais trouvée. Quand je suis entré nue étant passée par le vestiaire, il m’a reconnu et comme il avait apprécié le spectacle que nous avions donné à ses clients, c’est dans le sauna qu’il m’a prise entouré de personnes qui nous mataient, parmi elles les trois grâces. Je pense que la jouissance que j’ai ressentie permettant à ceux qui sont proches du sauna d'entendre mes cris de jouissance comme s’ils m’égorgeaient. Les copines étaient contentes que je sois heureuse chaque fois elles acceptaient que j’aille au club sans elles, me ...
    ... déposant devant et me reprenant après que je me sois éclatée, c’est moi qui rapidement en ai voulu encore plus. Je me suis arrangé avec ma patronne prétextant des obligations pour débaucher à 15 heures les jeudis, car le club ouvrait à 16 heures ces jours-là. Plusieurs clients venaient m’offrir un verre que je refusais, car dans ce club pour une jolie fille boire sans se faire baiser était mal venu. A peine nue, Gilles m’emmenait dans différents endroits du club, j’ai fini par franchir une étape jouissant toujours aussi fort mais étant dans l’impossibilité de garder mon libre arbitre. Chaque fois que je trompais Laurent surtout au début j’avais honte, mais les orgasmes apportés par mes amants qui me dévastaient ont fini par me donner une quiétude me permettant de laisser s'envoler mes préjugés. Gilles était content, son chiffre d’affaires augmentait de nombreux voyeurs qui venaient, voir la petite blanche se faire emmancher par la grosse bite noire. Une nouvelle fois il m’a entraîné dans la pièce vitrée et après avoir sucé ma chatte de sa grosse langue râpeuse il m’a fait mettre à quatre pattes, ma copieusement craché sa salive sur l’anus et sans me demander mon autorisation il m’a sodomisée. J’ai eu l’impression qu’une barre de fer entrait au fond de mon corps, mais c’était Gilles qui me le faisait et Gilles était devenu l’homme qui avait tous les droits de martyriser mon corps. Si cet homme avait voulu faire de moi sa pute, je l’aurais accepté, mais pendant toutes les semaines ...