1. Caroline la copine de mon meilleur pote (1)


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Hétéro

    Contient de l’uro s’il y en a que ça gêne. Salut tout le monde, je me présente, Roland, brun 1m70 pour 61k. Au moment où s’est passée l’histoire j’étais sur l’année de mes trente ans. J’ai un physique banal assez du moins pour avoir une vie sentimentale ou sexuelle assez dosée quand l’envie m’en prend. J’ai toujours été porté sur le cul et n’hésite pas à en parler que ce soit avec mes potes et leurs copines quand elles sont là. Attention, avant les faits qui vont se dérouler je n’avais jamais voulu ou même pensé à détourner ne serait-ce qu’une seule des filles avec lesquelles mes amis sortaient. Les gens qui me connaissaient savaient que je pouvais être trash en plus d’être porté sur la chose, pas au point pour autant que cela fasse de moi un animal en rut constante. Un week-end sportif mouvementé m’avait laissé avec le bras en écharpe. Une semaine d’arrêt et 10 jours d’anti-inflammatoires. J’étais condamné à errer sans but dans mon appartement, non climatisé, en plein milieu de l’été. La douleur dans l’épaule transformait la moindre action en supplice. D’un naturel énergique, j’étais amorphe. Plongé dans une sorte d’apathie permanente et la cadence qui va avec. J’avais bien réussi à me rouler un joint mais il ne fallait pas me demander grand-chose en plus. L’épisode de la série que je matais venait de se terminer et je ne me sentais pas de regarder la suite. Pour éviter l’ennui je suis allé sur l’ordinateur pour me mater un porno, après un week-end d’absence les divers sites ...
    ... sur lesquels j’allai avaient bien eut le temps de recevoir du nouveau matos. L’acte en lui-même s’était avéré douloureux et pénible mais une fois assouvi m’avait laissé complètement K.O vidé au propre et au figuré. J’étais encore en train de souffler quand mon téléphone s’est mis à vibrer. C’était mon meilleur pote. Il m’expliqua que le boulot lui avait fait un sale coup et qu’il devait bouger sur Bordeaux pour une semaine. Il était parti dans l’urgence et n’avait pas filé de double à sa copine. Plus jeune que nous, elle vivait encore chez son père, j’avais cru comprendre que de ce côté-là le moral n’était pas au beau fixe. Il voulait savoir si c’était ok qu’elle reste chez moi le temps qu’il revienne. J’ai accepté sans mauvaises intentions et il m’a dit que dans ce cas elle débarquerait d’ici une heure. J’ai passé quelques secondes avant de me souvenir de son prénom. Mon pote avait toujours aimé ses petites-amies jeunes. Il ne s’était jamais posé longtemps avec la même fille, préférait tirer le maximum du filon Tinder qui avait révolutionné notre vie à tous. J’avais aperçu Caroline à deux ou trois occasions sans jamais lui avoir vraiment parlé, me doutant qu’elle finirait par disparaître bien vite. Physiquement parlant elle n’était pas exceptionnelle, mais mignonne. Brune mutine de vingt-trois ans coupée à la garçonne, mesurait environ 1m60, pas des seins énormes mais assez gros pour un honnête homme. Un petit modèle qui ne se mettait pas en valeur et qui ne s’habillait pas ...
«1234...»