1. Post-divorce - épisode 13


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Anal Hardcore, Inceste / Tabou

    ... Tu leur plais, ma chérie. C’est bien. Comme avec le glory hole tu vas faire tout comme je te dis. Tu vas beaucoup aimer, ma chérie. Déjà tu enlèves les vêtements, d’accord ? Omar t’en amène d’autres.En effet, le gros est de retour avec un sac qu’il dépose sur la chaise vide à côté de moi. Il repart dans la salle principale et s’adresse à ses clients puis referme la porte d’entrée.- C’est pour qu’on soit tranquilles, explique Jamal d’un ton qui se veut rassurant.Je farfouille dans le sac. Il est rempli de vêtements divers – majoritairement féminins - et d’accessoires. Interdit, je regarde Jamal qui me dit :- Prends des trucs qui font pute, les amis aiment bien.Comme je reste comme une andouille sans trop savoir quoi choisir, il se lève et se met à sélectionner.- Déshabille-toi, je prends pour toi, ma chérie.Pendant que je retire mes vêtements, une musique arabe typique retentit dans la salle principale et les voix se font entendre.- Ils t’attendent, sourit Jamal en me tendant sa sélection. Tu vas faire la tournante avec eux. Le gangbang. On va filmer et on louera après dans le sex-shop, j’ai vu avec le patron. Et on mettra sur internet aussi peut-être.Je passe les vêtements sous son œil critique : une paire de bas-résilles qui a vécu, un porte-jarretelles en cuir rouge, un string en dentelles noir et une sorte de nuisette vaporeuse et transparentes qui me couvre sans rien cacher du cou au bas des fesses. Jamal a l’air satisfait. Il ajoute une perruque noire au carré qui doit ...
    ... me faire ressembler à Mireille Matthieu et un collier en simili velours avec une médaille « chienne » du plus mauvais goût. Je ne vois pas à quoi je ressemble mais je dois être grotesque. Ça n’empêche pas ma bite bandée à mort de sortir par le haut du string. Jamal termine son chez d’œuvre en me donnant un loup qui masque mes yeux et en me faisant chausser une paire de chaussons d’intérieur à talons puis il me prend par la main et je le suis dans la pièce principale.Les tables et les chaises ont été reculées pour créer un cercle dégagé au centre. Cinq hommes, quatre arabes bedonnants et un noir barbu plutôt sec sont assis aux abords du cercle. Ils ont tous la cinquantaine, bien tassée pour certains, et portent des djellabas et des turbans qui cachent leurs visages. Omar le serveur est au bar ou il prépare des boissons qui n’ont rien de compatible avec les interdits musulmans. Jamal allume les caméras sur pied qu’il a disposé aux 4 coins de la pièce et prend en main une cinquième plus petite « pour les gros plans » avant de me pousser au centre de la pièce:- Danse, ma Kahba ! Fais grossir les zèbs des vrais hommes !Honteux, je me déhanche de mon mieux au rythme de la musique lascive en singeant les danseuses du ventre que j’ai pu voir à la télé. Jamal tourne autours en filmant. Les hommes applaudissent et m’invectivent sans que je comprenne en descendant les verres d’alcool. Des verres me sont offerts et je les bois d’un coup. L’alcool est très fort, brûlant. Je suis à moitié ...