1. La maman dévergondée, 11° partie


    Datte: 19/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Partouze / Groupe

    ... Maman, mais je te donne ma souffrance, parce que je t’aime.– Moi aussi, je t’aime, Romain. Tu es un garçon adorable. Ah ! Je crois que je vais jouir sans même me toucher !– Pareil ! Tu es ma poupée sexuelle adorée, a dit Rosy !– Je vous aime toutes, a dit Romain. Je veux endurer encore plus de souffrances pour que vous soyez contentes, et que ça vous fasse jouir très fort !– Pauvre garçon ! Tu veux que je te suce, a demandé ma mère apitoyée ?– Ou bien, tu préfères que ce soit moi qui le fasse, a proposé Rosy ?– Non, attendez, a dit Florence. Il n’a pas encore assez dérouillé : il faut aller jusqu’au bout de notre fantasme. Lâche ton sexe, Romain. Je vais te torturer dessus, avec les orties. Je veux te voir pleurer de douleur. Regardez bien : ça va être horrible !Rosy a maintenu les mains de Romain derrière le dos, pendant que sa tortionnaire a fait ce qu’elle avait annoncé, en fouettant le pénis dressé avec les orties qui commençaient à devenir molles, et donc moins efficaces pour provoquer la douleur, ce qui devenait frustrant pour les spectatrices gourmandes de larmes et des petits cris désespérés du garçon. Adrienne donc est allée en cueillir une brassée de plus fraîches et de plus urticantes, et le supplice s’est poursuivi.Un petit attroupement de badauds s’est formé autour de ce jeu de massacre. Il y avait celles et ceux qui plaignaient Romain, et les autres, majoritaires, qui trouvaient cela très excitant. Avec ceux-ci, une partouze a même commencé, et pantalons, ...
    ... chemises et sous-vêtements volaient dans les airs pour atterrir aléatoirement sur l’herbe, ou ailleurs. Ainsi, Romain a reçu une petite culotte sur le nez, et cette odeur féminine imprévue l’a consolé de ses souffrances.Lorsqu’elle s’est lassée de ce bourrèlement, Florence a passé un collier de chien autour du cou de son fils, et a exigé de celui-ci qu’il se tienne à quatre pattes. Toutes les femmes qui le voulaient ont eu droit à un cunnilinctus, en commençant par Maman et en finissant par sa tortionnaire. Il devait s’appliquer ; autrement, sa mère lui fouettant encore les fesses rendues déjà très rouges par les orties, impitoyablement. Par contre, lorsqu’il travaillait bien et que ses partenaires jouissaient, elle le récompensait en le branlant avec ses pieds, un geste qu’il adorait et qu’elle pratiquait aussi régulièrement, surtout lorsqu’il ramenait de bonnes notes à la maison. De la sorte, il a mouillé les petits petons maternels, puis les a léchés, obligé de laper son propre sperme. Autour de nous, des gens prenaient des photos et des films pour immortaliser la scène.Puis, alors qu’il était encore à genoux, tout haletant d’avoir tant bouffé de chattes et rendu ivre de tant de merveilleuses odeurs que pour rien au monde, il me l’a confié plus tard, il n’aurait voulu être ailleurs, sa mère est passée derrière lui et l’a brutalement enculé par surprise, équipée d’un gode-ceinture. En appuyant sur sa prostate, la grosse tige noire l’a fait bander à nouveau. Ma mère a de nouveau ...