1. Souvenirs d'une autre vie (1)


    Datte: 20/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... envie. C’est pas permis, ce n’est pas normal, je suis devenue timbrée. Mais mon ventre lui ? Je me fais l’effet d’une fieffée salope de penser à de pareilles choses, à avoir des idées de cette sorte au fond du crâne. Pourtant, ma chatte est en feu et je sors dans le jardin. La porte qui s’ouvre, encore un peu de remue-ménage et la voix tellement pareille à la tienne… qui m’appelle encore une fois. — Bon et bien j’y vais ! Maman à demain ! Je te fais un bisou et… je t’aime ! — Moi aussi je t’aime mon grand ! Amuse-toi bien. C’est sonore, ça me claque sur les joues. Il quitte la maison. Le moteur de la voiture qui s’éloigne me laisse dans un profond désarroi. Je suis seule. Non ! Je me sens seule et c’est pire encore. Alors je me laisse tomber sur le canapé du salon et j’ai comme un sanglot qui me monte à la gorge. Je me sens toute… toute chaude. Ma jupe est remontée sur mes cuisses. Mes mains du long de mon corps rampent vers le centre de celui-ci. Mon Dieu quelle honte ! Ma culotte est trempée. Merde, c’est mon fils, ton gamin, pauvre fille. Ces pensées-là sont interdites et même en rêve ce n’est pas normal ! Yohann a raison, il faut que je bouge, que je sorte, que je vois du monde. Mes doigts fouillent le long de mes cuisses, ils longent l’élastique de la culotte, la font glisser vers mes talons, je me redresse devant le sofa et la petite étoffe humide est jetée à même le cuir du fauteuil près de moi. Je passe ma main sur cette fente idiote qui n’en fait qu’à sa caboche et ...
    ... je tressaille. Les lèvres s’ouvrent toutes seules sous la chaleur de ma paume qui glisse lentement sur les contours ourlés de ma foufoune. Je remonte d’un index rageur sur cette blessure indolore et pourtant si sensible. Ce n’est plus de salope que je me traite intérieurement, mais bel et bien de pute. Je retire précipitamment mes phalanges de ma chatte béante ! Non, je ne peux tout de même pas me branler en pensant à mon propre gamin… et pourtant ? Cette belle queue, il s’en est fallu d’un cheveu pour que je la prenne en main. L’idée m’est venue de la saisir, de la tâter, de la sentir aussi. Je sais, c’est con, mais j’ai songé un instant même la prendre dans ma bouche. Je frissonne rien qu’à l’idée que j’aurais pu faire une chose pareille. Vraiment, je dois absolument sortir ; il me faut calmer mon esprit, apaiser mes états d’âme. Yohann a raison, je dois voir mes copines… — oooOOooo — Yohann C’est vendredi et je n’aime pas les fins de semaine. Ma mère est chiante quand je suis à la maison. C’est comme si elle avait arrêté de vivre quand mon père a eu son accident. Elle m’a déjà fait tout un cinéma quand j’ai voulu passer mon permis de conduire. Elle a à peine quarante-cinq ans et c’est encore une belle gonzesse. Elle a juste une petite touffe de cheveux qui grisonne sur ses tempes, une jolie brune ! Mais bon sang quand elle sourit, c’est devenu trop rare, quand elle sourit, c’est dingue l’effet qu’elle fait sur mes potes. Sur moi aussi j’avoue que des fois… dommage que ce ...
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