1. Femme mariée, femme à tenter.


    Datte: 21/09/2017, Catégories: Première fois

    ... synchronisation parfaite, je sentais ce plaisir intense m’avaler, je continuais ainsi à la pilonner, puis releva ses jambes aux cotés de mon visage, non sans en profiter pour une petite léchouille sur le gros orteil et la saillie reparti pendant plusieurs minutes…Elle finit par me proposer de monter sur elle et s’assit sur moi, ma queue en elle, elle entama un mouvement de bassin qui me faisait monter la sauce, elle finit par se coucher sur moi et sans que je m’en rende compte mes envies SM prirent le dessus, une fessée vola, elle s’interrompit.-Tu fais quoi la ?-Merde désolé.-Si tu veux me mettre une fessée mets en une vraie, c’est les mauviettes qui tapent comme ca…-Tu es soumise ?-Pas vraiment, mais j’aime bien une fessée de temps en temps…Je ne me fis pas prier, els fessées volèrent de plus en plus et elle s’agitait elle aussi, au bout d’un moment elle se mit à trembler et chuta sur le coté comme assaillie de soubresaut, le ton agrémenté de « oh putain » retentissant, je m’inquiétais…-Qu’est ce qu’il ya ca ne va pas ? Tu fais un malaise ?Elle me donna un coup de poing dans le bras et aussi faible qu’elle semblait l’être dans cet état, ca faisait quand même mal…-Je viens d’avoir un orgasme imbécile !-Non sérieux ?Ok, pas vraiment la question à poser, mais il faut dire que je n’avais jamais été doué pour coucher avec une femme, donc savoir que je lui avais apporté un orgasme c’était surprenant, surtout quand elle me dit de son propre aveux qu’elle était très dure à faire venir et que j’étais le premier à y parvenir depuis longtemps, elle entreprit alors de me sucer et me branler, elle faisait ca plutôt bien et au bout de quelque minutes mon sperme jaillit sur ses seins dodus.Petit passage à l’évier et aux WC, habillage, nous partîmes rendre la clef et repartirent vers la gare, elle m’avoua que d’habitude elle coupait les ponts après la partie de jambes en l’air, mais qu’elle avait fort apprécié cette dernière et me proposa qu’on remette le couvert un de ses jours.
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