1. Pauline - années adulte (19)


    Datte: 25/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’apprenant ? — … Il était fou de joie. — Et merde ! Parts ! Quitte-le ! — Mais… Pour aller où ? Je suis complètement dépendante de lui, tu le sais. Je n’ai même pas le bac. Et tu te souviens de ce qu’il a fait lorsque j’avais enfin trouvé un petit boulot ? — A la boulangerie ? — Oui. Je n’ai même pas tenue une demi-journée… Rappelle-toi le haut trop transparent qu’il m’avait obligée à mettre. Tout le monde voyait mes seins. Il savait très bien qu’humiliée ainsi l’excitation monterait en moi… La patronne n’avait pas apprécié mes habits et encore moins le fait que je sois obligée d’aller me masturber pour me calmer… — … Lorsque je t’ai connue encore gamine, même ado, tu étais combative. Tu ne te laissais jamais faire. — J’ai changé. — Non ! Je refuse de le croire ! — Tu te trompes. Je suis désolée… Soit clair avec moi : on arrête tout et on ne se voit plus ? — C’est le mieux que nous puissions faire. J’espère que les choses s’arrangeront pour toi. — Merci… Adieu. monmcceq « Maitre »… Patrice… commença à me laisser tranquille. Je restais son esclave, devant tenir en ordre l’appartement, me fouettant lorsqu’il avait passé une mauvaise journée, m’habiller sexy lorsqu’il invitait du monde et faire semblant que nous étions un véritable couple. Mais c’était tout. Fini les contraintes sexuelles. Fini de devoir dormir nue sur le parquet du salon. Fini de devoir l’attendre nue devant la porte, à genoux, les mains derrière la tête. Il me laissait m’occupait de ma fille. Patrice ...
    ... trouvait que le nom que je lui avais donnée était ridicule : Yvana… Elle le portait si bien pourtant. Elle et moi étions inséparables et complices. Et il y eu ce jour, m’étant enfin décidée à aller sur la tombe de mon père… Pauline, ma mère… Elle était comme dans mes souvenirs, aussi jolie… Trop de sentiments m’envahirent alors ; j’ai laissé Yvana passer devant. J’avais tellement honte de ce que j’avais fait, de ce que j’étais devenue… Même à elle, je ne lui ai jamais dit qui était le véritable père d’Yvana. De toute façon, en quoi ça avait une importance ? Je n’aimais pas l’homme avec qui je vivais, mais mon existence était devenue confortable, en partie en tout cas. Yvana passa de nombreuses vacances chez sa grand-mère. Patrice… « Maitre »… profitait alors de ma « disponibilité » pour que je redevienne la chienne qui sommeillait en moi. Le salaud savait encore comment me rendre folle d’envies. Que ce soit pour lui ou pour un autre n’avait aucune importance. Je m’offrais pour sentir le plaisir que l’autre avait, calmant ainsi mes envies lorsqu’il se déchargeait. Les années passèrent. Je n’ai eu aucunes nouvelles de Marc, je n’ai jamais essayé de le recontacter, je regardais tout de même dans les médias si on parlait de lui. Yvana poussait comme une jolie fleur. On avait dit que je ressemblais beaucoup à ma mère, mais ma fille était son portrait craché. Elle était belle et intelligente, j’étais si fière d’elle. Mais… — Patrice ? Qu’est-ce que tu fais ? — Je vais me raser. — Mais… ...