1. Un palliatif


    Datte: 21/09/2017, Catégories: Mature, Première fois Inceste / Tabou

    ... ventre."Oh Julien. Je... c'est bon... je jouis.Je dois me raisonner pour me pas hurler de plaisir pendant que mon corps résiste contre mon fils. Je passe mes bras autour de lui, le serre étroitement jusqu'à ce que les tremblements de mon corps diminuent progressivement. Puis je le sens se crisper quand il éjacule pour la deuxième fois en quelques minutes. De nouveau il balance une belle quantité de sperme en moi. Je me demande comment cela peut-il être possible.Quand il a finalement terminé, il se retire légèrement et pose sa bite demi molle tranquillement sur moi, je prends sa tête entre mes mains et le tire fermement pour que je puisse lui parler à l'oreille.– Mon Poussin, je te remercie. Tu dois partir vite. Ton père va bientôt revenir. J'avais vraiment besoin de cela, mais nous allons devoir en parler plus tard. Ça ne doit pas se reproduire.– Je sais maman. C'est la meilleure chose que je n'ai jamais ressenti. Tu es vraiment faite pour faire ça. Je ne sais pas pourquoi papa ne le fait pas avec toi tous les jours.– Poussin... assez parlé de cela. Tu as besoin de te préparer pour le collège. Descends et prends ton déjeuner. Après le départ de ton père pour le travail, nous devons en parler avant que tes sœurs et toi ne partent.– Je n'ai pas cours aujourd'hui.– D'accord. Descends et déjeune. Après le départ de ton père remonte et nous allons pouvoir parler. Et ne lui dit rien à ce sujet. Ce doit être juste notre secret et ne doit jamais se reproduire.En un clin d'œil, il ...
    ... lève lentement. Sa queue sort doucement de ma chatte. Lentement il profite tout simplement de la sensation qu'il ressent de sa première fois. Comme son gland émerge Je baisse les yeux et regarde sa bite dégoulinante de nos sécrétions. Il y a juste assez de lumière par les fenêtres maintenant pour voir qu'il a un beau morceau... presque aussi grande que celle de son père. Quand il quitte le lit il tire la couverture jusqu'à mes pieds, puis s'arrête et contemple mon corps. Ses yeux bougeant lentement de mes jambes écartées jusqu'à mes seins. Cela me fait rougir légèrement et, déplaçant mes jambes ensemble, je saisis rapidement la couverture et la tire jusqu'à mon cou.– Il fait froid, murmure-je embarrassée. Le radiateur s'est arrêté plus tôt, mais nous l'avons pas remarqué. Avec Julien sur moi, je ne l'avais pas remarqué.– Tu es vraiment super sympa maman. Papa est tout simplement stupide, dit-il rapidement. Il saisit son peignoir, sort tranquillement en fermant la porte de la chambre derrière lui.Aux bruits venant de la salle de bain je sais que Grégoire a fini et est sur le point d'entrer dans la chambre. Alors que je l'attends ma main se promène sur ma poitrine et sur mon ventre jusqu'à ce qu'elle atteigne mon pubis et avec mes doigts le titille légèrement mon clitoris. Comme ma chatte commence à frémir la porte s'ouvre et Grégoire se dirige vers le lit.– Ma Chère, je ne rentre pas à la maison ce soir. J'ai oublié de te le dire hier soir. Je dois aller jusqu'à l'usine de Metz ...
«12...567...10»