Le cadeau d'anniversaire - Histoires de Sexe

Le cadeau d'anniversaire

... me mettant en position pour lui présenter mon arrière-train. — Cambre-toi bien, chérie. Pierre m’écarte les fesses et reprend possession de mes reins avec une facilité qui me déconcerte. Punaise, je dois avoir le trou de balle grand comme une soucoupe… — Karine, tu ne peux pas savoir l’effet que ça me fait de voir mon sexe te pénétrer de ce côté.— Pervers lubrique.— Pas du tout. Je profite à fond de la totalité des charmes de ma magnifique épouse. C’est tout à fait normal.— Obsédé du trou du cul. Vivement qu’il explose… Ce n’est pas demain la veille que je vais jouir en étant prise par derrière. Je vais accélérer les choses. — Ça te plairait si je danse du popotin ? Comme ça ? questionné-je en entamant des roulements du bas-ventre tout en me cambrant au max.— Oh la vache, ça c’est terrible, commente-t-il. Ma chère femme tu es devenue la meilleure baiseuse que j’ai rencontrée…— Merci du compliment.— Et c’est vrai. Tu sais, je suis un connaisseur. J’en ai connu un paquet de filles douées pour les galipettes.— Toutes des poufiasses nympho et des suceuses de bites, commenté-je en accélérant la cadence.— Arrête, tu vas me faire jouir trop vite, s’écrie-t-il en se retirant. Tu es une vraie jument en chaleur. J’ai besoin de la refroidir un peu. Pourquoi les mecs parlent de leur sexe à la troisième personne ? Je n’ai pas le temps de philosopher… — Aïe !… Mon cher époux vient de me donner une petite claque sur la fesse. — Tu as vraiment un cul d’enfer, commente-t-il. Je n’ai pas pu ...

... résister à l’envie de te flatter la croupe. Écarte les jambes au max, et cambre-toi, ma pouliche chérie, que je ramone ton superbe petit cul à fond. Han !… Han !— Ahhhh… Ahhhh. Un vrai métronome. À chaque coup, son pubis vient cogner sur mes fesses et ses couilles viennent taper à l’entrée de mon vagin. — Tu me dis si j’y vais trop fort, s’inquiète-t-il.— Demain je ne pourrai plus m’asseoir mais ce n’est pas grave. Prends ton pied. Profite.— Han… Han…(il me tient par les hanches et je me fais secouer comme un prunier).— Cale-toi en mettant tes mains sur le mur, me conseille-t-il. Reste bien cambrée. Han !(coup encore plus violent).— AAAhhhh !(couinement encore plus fort). Punaise, s’il me prenait normalement, je serais en train de jouir comme une folle. Dommage. — Ça te fait de l’effet, tu viens ? me demande-t-il en se méprenant.— Par là, c’est mission impossible, tu le sais.— Moi, je ne vais plus pouvoir me retenir, c’est trop bon… Han… Punaise, enfin… — Tu aimes quand je serre mes fesses comme ça ? questionné-je en contractant mes sphincters.— Oui, Karine, oui…(le rythme se fait endiablé, han han han).— Tu apprécies, on dirait…— Oh, feu de Dieu, Karine que tu es bonne, je t’aime… OUIiiiiiiii… Aahhhh !(mon cher mari explose copieusement au fond de mes reins). Petite pause salvatrice, puis encore essoufflé, il se retire lentement et s’inquiète de nouveau : — Chérie, ça va ?— Oui, mais dommage que je ne sois pas aussi réceptive de ce côté que de l’autre.— Karine, un jour, tu ...