1. Sortie en travesti avec Jean-Gab


    Datte: 21/02/2020, Catégories: hh, couleurs, Voyeur / Exhib / Nudisme hféminisé, Transexuels hgode, hsodo,

    ... je ne tiens pas à ce que la milice contrôle mes papiers. Jean-Gab se change aussi, il garde le soutien-gorge et troque la culotte rouge contre un string qui a du mal à contenir sa queue. Il enfile une mini robe fourreau noire très moulante et nous partons. En montant dans la voiture, je ne me souviens plus que je porte une jupe malgré la fraîcheur nocturne ressentie sur mes fesses nues, elle déborde à l’extérieur alors je ressors et remonte dans l’auto en adoptant le geste féminin consistant à accompagner la jupe de ma main sous les fesses pendant que je m’assois. Jean-Gab monte, sa mini robe aussi … à ras les bonbons. Nous roulons en direction de l’avenue du Général de Gaulle. Arrivés Jean-Gab gare la voiture et m’invite à descendre. — Allons marcher, Alex.— Mais il y a du monde !— Évidemment, c’est la plus grande avenue de Pointe-Noire ! Ne t’inquiète pas et savoure le plaisir de ton travestissement fort bien réussi donc très discret. Rassure-toi donc, tu ressembles plus à une élégante qu’à une pute. Marchons. Il y a effectivement un peu de monde, je me concentre sur ma démarche pour éviter un faux pas et me retrouver les jambes en l’air en public. J’oublie peu à peu mes escarpins, la robe, le soutien-gorge et le string qui reste visible au moindre coup de vent, car ma robe est assez ample, en tous cas assez pour qu’elle puisse se retrousser sur ma tête. Jean-Gab me prend la main. — Tu te débrouilles très bien, Alexandra. Comme une vraie femme. Jean-Gab m’entraîne vers la ...
    ... terrasse d’un café où nous nous asseyons. Je choisis une place pour avoir le dos à la rue. Je m’assieds en prenant garde de ne pas froisser ma jupe. Mon chemisier est ouvert et l’on voit le début de mon soutien-gorge. Je me sens excitante. — Dis-moi es-tu bien avec Alban ? Il te plaît ?— Oui, beaucoup. Il est bel homme et très vigoureux en plus.— Tu veux dire qu’il a une grosse bite et qu’il sait s’en servir ?— Oui, c’est cela. Mais, Jean-Gab, quel rapport as-tu, toi, avec Alban ?— C’est une vieille histoire. Disons que je lui dois beaucoup pour être dans la position sociale d’aujourd’hui. Il m’a confié à Zoé pour parfaire mon éducation. Je suis libre par rapport à lui, mais je lui suis très dévoué.— Zoé t’a dressé alors ?— Oui, elle a fait de moi une soumise très obéissante donc un sac-à-foutre, un vide-couilles.— Alban t’a déjà baisé ?— Occasionnellement je lui sers de vide-couilles, c’est juste sexuel. Avec toi ce n’est pas pareil. Tu es blanche. Je me rends compte que nous parlons un peu fort et qu’un couple de la table à côté prête l’oreille à notre conversation. Cela m’indiffère, mais nous parlons plus bas maintenant. Il est vrai qu’ici il faut faire très attention aux propos que l’on tient dans les endroits publics. Les propos de Jean-Gab me rassurent, mais m’étonnent aussi. Lui aussi est passé entre les mains de Zoé qui l’a éduqué, c’est à dire dressé sûrement comme Nestor rencontré samedi soir. Discrètement, Jean-Gab, assis en face de moi, a retiré ses escarpins et ...
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