Non c'est pas l'inceste! (2)
Datte: 21/02/2020,
Catégories:
Transexuels
... escarpins noirs en cuir et une perruque. Lorsqu’il me tire devant le miroir, je ne me reconnais pas moi-même, Je suis une vraie fille. Alors que je me contemple devant la glace, j’entends sa voix qui m’ordonne de me mettre en levrette. Je m’exécute, anxieux et hésitant. Je ne comprends pas ce qui se passe. Mon cœur bat la chamade. Soudain : Il me claque les fesses ; Vlaaannn ! Le bruit de sa main sur mes fesses a dû alerter les voisins tellement il a résonne fort. Je pousse un cri de douleur avant de comprendre que je suis en train de recevoir une fessée. -Marc pitié ! Non pas ça. -Ma chérie, me dit-il calmement, les salopes reçoivent la fessée ! Tu es une salope donc tu dois recevoir la fessée. Je veux me relever, mais je ne fais rien. Au contraire, je me cambre bien pour lui offrir ma croûte. Et une autre (claque), une autre… Par moment il me masse les fesses avant de me frapper. La douleur est trop intense, je craque ; Alors je commence à pleurer. Et le pire est que je ne sais même pas si je pleure à cause de la douleur pour sa part, il n’en démord pas, Mes larmes brouillent déjà ma vue, mais je me perçois distinctement dans le miroir en face de moi, dans cette position en train de me faire humilier et j’ai une montée d’excitation qui me traverse tout le corps et me fait déjà bander. — Regarde-toi, Tu bandes. Une petite fiotte efféminée, c’est tout ce que tu es. Et je sais que tu fais semblant d’avoir mal. Tu aimes te faire fesser, comme une salope qu’on démonte. Je ne ...
... sais plus quoi faire, afin si, je dois me soumettre. Alors je me résigne à lui donner ce qu’il veut. — D’accord Marc, je suis une salope, Je suis ta salope. Il s’arrête de me martyriser le postérieur et je me dis que c’est fini. Il demande alors : — Alors comme ça tu acceptes être une salope ? — Oui Je l’accepte je suis une salope, ta salope. Vlaannn !! De nouvelles claques sur mes fesses me font à nouveau hurler de douleur. — C’est comme ça que je traite ma salope. Et je vois que tu bandes, ta petite bite d’efféminée aime ça on dirait. En effet, je bandais déjà. La douleur, la position, la robe moulante qui habille tout mon corps, crée une psychologie de soumission dans ma tête, et Je sens mon corps tout entier qui en ressent un immense plaisir. Je commençais à me laisser aller à la honte d’être féminisée mais beaucoup plus, être traité comme une salope par mon beau-frère. Cinq minutes plus tard, il cesse enfin de me frapper mais je continu de pleurer tant la douleur est grande. Allongé là sur le sol, je me sens comme un objet. Je suis amoindri, rabaissé à mon plus simple état, humilié. Et Marc, mon bourreau, prend un malin plaisir à savoir qu’il est l’auteur de ma déchéance, de ma soumission. Moi je ne sais plus s’il me fait du mal ou s’il me fait du bien. Il s’assied sur mon lit, baisse son pantalon et : — Nathalie ! Je me retourne et vois son regard qui me parle, alors je me relève légèrement et me dirige vers lui à quatre pattes. Je saisis sa queue en tremblant et la fixe ...