Éric offre Corinne à ses collègues de bureaux
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
laid(e)s,
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
Partouze / Groupe
extraconj,
... remontée doucement jusqu’à mon sexe et l’a effleuré avec ses doigts. Ce simple contact furtif, que j’espérais depuis si longtemps, m’a arraché un soupir non contrôlé. Ce que venait de me faire Éric, bien que dissimulé par la table, ne faisait aucun doute dans l’esprit des collègues de mon mari. Pour preuve Pierre, pourtant discret depuis le début de la soirée a lancé : — Eh bien Corinne, je ne te connaissais pas aussi… sensible, si j’ose dire. Je baissai les yeux et fus couverte de honte. Les collègues de Laurent devaient me prendre pour une vraie coquine en manque de sexe. Bizarrement cette pensée m’a beaucoup excitée. J’espérais simplement qu’ils ne diraient rien à Laurent. J’avais très peur de ça. Mais à part cet épisode, le repas s’est très bien passé, je commençais à me décontracter, l’alcool aidant. Et les plaisanteries fusaient. Bien sûr, je sentais que Stéphane me regardait de façon vicieuse et qu’il me draguait sans prendre de gants, mais je trouvais finalement ça plutôt drôle et je le laissais faire en lui envoyant quelques sourires aguicheurs. Après le repas, nous avons repris les places que nous avions durant l’apéritif. Je pensais que Stéphane et Pierre allaient bientôt partir et que j’allais enfin avoir ce que j’étais venue chercher : du sexe. Au bout de quelques instants, Éric s’est collé à moi et m’a embrassé dans le cou. De nouveau la situation me gênait, mais Éric n’en resta pas là, il m’a pris la bouche et m’a donné un baiser long et passionné. Il était ...
... très excité et il a commencé à me caresser la cuisse. Je sentais que sa main essayait d’écarter mes cuisses et qu’il voulait me caresser la chatte. Je maintenais mes cuisses le plus serré possible pour ne pas m’exhiber devant Stéphane et Pierre, mais je voyais bien ce que souhaitait Éric. Je n’osais ouvrir les yeux, il était clair que les collègues de mon mari n’auraient plus aucun doute sur ce que j’étais. Soudain, j’ai senti quelqu’un s’asseoir à ma gauche (Éric était assis à ma droite). Je gardais les yeux clos tellement j’avais honte, mais paradoxalement j’avais mon entrecuisse qui me brûlait et je n’avais qu’une envie, m’ouvrir à Éric, comme quand nous étions seuls. Celui-ci forçait de plus en plus pour écarter mes jambes et une seconde main est venue se poser sur mon autre cuisse pour l’aider. Cette seconde main avec de petits doigts courts et boudinés ne m’a laissé aucun doute quant à l’identité de mon nouveau voisin : c’était la main d’un nain, c’était celle de Stéphane. Petit à petit je cédais et laissais mes cuisses s’ouvrir. — Oh la cochonne, cria Pierre, elle n’a pas mis de culotte ! Quelle belle chatte !— Et trempée comme jamais, lança Éric pendant que ses doigts caressaient l’entrée de mon vagin. Ça doit être parce qu’elle est excitée par votre présence. Vous allez voir comme elle aime la queue, vous allez vous régaler. Je me risquai à ouvrir les yeux et découvris Pierre debout devant moi, en train de se masturber. Je fixais cette bite dure et tendue devant moi. Je ...