Le désir d'enfanter de Magalie (2)
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
Hétéro
... mon mari tout prêt, dans le hall d’entrée de l’hôtel peut-être. Rapidement on cogne à la porte, l’homme entre. Il s’avance en silence vers nous. Mon mari est debout derrière moi et nous nous tenons les deux mains. J’entends une ceinture se dénouer puis un pantalon tomber. Debout face à moi, il s’avance entre mes jambes qu’il prend et écarte doucement. Ma robe se retrousse sur mon ventre, révélant ma chatte que j’avais pris soin de raser, au risque de fâcher Stéphane. Ce dernier avait prévu une petite bouteille de lubrifiant sur le coin du meuble, j’ai presque honte de ne pas en avoir besoin, ma chatte est déjà toute humide. L’homme presse sonentrejambe contre ma chatte humide, je sens sa queue déjà bien dure à travers le tissu de son boxer. Il semblait attendre ce moment avec impatience. Au moment où l’homme abaisse son sous-vêtements, les deux mains de Stéphane se crispent autour des miennes, comme pris de panique. Aussitôt, le géniteur place son gland sur mes petites lèvres et lentement il s’introduit en moi. Je comprends alors la réaction de mon mari. Son pénis est énorme. Il doit faire le double de celui de Stéphane en diamètre, mon mari n’avait pas prévu ça. Lentement, il s’insère en moi laissant le temps à mes lèvres d’accommoder cette masse énorme, de s’étirer au-delà d’un niveau qu’elles n’avaient jamais eu à franchir auparavant. Sa verge fini par entrer non sans difficulté, il est tellement plus long que Stéphane, j’ai l’impression qu’il touche au fond de mon ...
... utérus. Je suis craintive à l’idée que cette chose me pistonnera sous peu, je crains la douleur mais du même coup je suis de plus en plus excitée. J’imagine le desarroi de mon conjoint qui constate que sa petite femme peut prendre un pénis à ce point plus imposant que le sien, j’ai peur qu’il se sente humilié… L’inconnu commence alors ses mouvements de va-et-vient en moi. Son engin me prend sur toute sa longueur, je suis moi-même étonnée de voir qu’une toute petite femme comme moi puisse accueillir en son sein et avec tant d’aisance un phallus si considérable. Non seulement il n’y a pas de douleur mais la sensation est fantastique. À mesure que l’homme coulisse lentement en moi, je réalise à quel point mefaire baiser par une si grosse queue avait été un manque dans ma vie sexuelle. Mon mari n’est jamais parvenu à mefaire jouir par simple pénétration. L’excitation monte très vite en moi, je tente de rester impassible, je ne veux pas que Stéphane soit témoin de mon plaisir, je ne veux pas le vexer. Mais c’est trop ardu, tous les ingrédients sont présents pour que j’atteigne le septième ciel. Les éléments d’un fantasme longtemps refoulé refont surface. Le fait d’être en quelque sorte contrainte, d’être retenue, d’avoir les yeux bandés et surtout d’être copulé par une verge massive, tout ça m’enflamme à un point que je n’aurais pas cru possible. J’en viens à me demander si le fait que Stéphane soit temoin impuissant de tout ça n’ajoute pas au fantasme. À mesure que l’homme me prend et ...