1. Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 2/2)


    Datte: 22/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... fond je sais qu’elle ne me laissera pas avoir plus que ça. Mais un homme étant ce qu’il est...je ne peux résister à l’envie de voir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où on peut maintenir l’illusion que tout ça n’est qu’un jeu amical. Alors je me met moi aussi à onduler, à me frotter contre elle de mon bassin. Cette fois ci elle ne se fige pas, elle se contente de continuer, synchronisant son mouvement sur le mien et contractant ses belles cuisses autour de moi. C’est alors comme si j’étais pris de pulsions, un côté animal en moi se réveille et je ne peux m’arrêter. Je pétrit à pleine mains ses hanches et ses cuisses, fini les caresses tendres du début. Elle semble surprise par ce côté plus violent que je lui montre, sa respiration s’accélère encore plus et son corps se secoue d’un frisson. Claudia m’embrasse alors dans le cou. Dieu que c’est bon ! Je me sens tout à coup con, elle le fait tellement bien que mes baisers depuis tout à l’heure ont dû lui sembler pareil à des léchouilles. En parlant de ça, elle passe soudain sa langue le long de mon cou, remontant jusqu’à la naissance de ma mâchoire. Je pousse aussitôt un petit grognement et j’essaye de lui faire pareil. Vu sa réaction j’ai maîtrisé le mouvement, il faut dire que ma prof est...motivante. Elle continue à légèrement m’humecter la peau de sa salive avant de souffler légèrement dessus, me procurant une sensation aphrodisiaque. Le désir brûle en moi, plus ardent qu’il ne l’avait jamais était jusqu’à cette nuit. Je l’ai ...
    ... désiré trop LONGTEMPS. Certains d’entre vous comprendront de quel sensation je parle, les autres me prendront pour un fou. Mais ça n’a guère d’importance, je suis lancé et même le réveil de Tanguy ne pourrait pas m’arrêter. D’ailleurs ça m’étonne qu’il continue à dormir, si le bruit de nos corps se frottants ou de nos respirations se changeants en gémissements ne le font pas, la chaleur qui irradie de nous et les grincements du lit auraient dû le faire. Mon érection est plus forte que jamais et je m’aperçois que ma queue est en fait sortie de mon short ! Le bout dépasse d’au moins sept ou huit centimètres mais Claudia ne peut pas s’en apercevoir car mon gland frotte contre son short à elle qu’elle porte assez haut. L’extérieur de nos corps est parcourue de frissons, fraîches au toucher, mais pour ce qui est de nos faces internes (là où nous nous touchons) elles sont brûlantes, humides, nos sueurs se mélangent. J’ai envie d’elle... La fournaise entre ses cuisses se frotte désormais sans ambiguïté contre ma queue tendue, je peux presque sentir ses lèvres cogner contre mon gland. Ma peau glisse contre la sienne alors que je redescends un peu, m’allongeant plus pour que ma tête descende au niveau de son décolleté. Je continue à lui embrasser le cou en caressant ses cuisses et elle est maintenant à quatre pattes, à califourchon et cambrée sur moi, son souffle chatouillant le sommet de mon crâne. J’ai envie de la baiser. Mes mains remontent, je ne peux plus résister à ses fesses, ...