1. C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur


    Datte: 22/02/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail dispute, Oral pénétratio, fsodo, vengeance, cocucont,

    ... surveillance de son alimentation lui ont permis de se débarrasser de quelques kilos en trop. Elle a acheté des vêtements à sa nouvelle taille, plus modernes, plus classe. Ses hauts sont dorénavant ajustés, elle peut se le permettre : sa poitrine très fine et ferme ne nécessite pas de maintien. Ses jupes sont plus ajustées également, mais aussi bien plus courtes. Ce ne sont pas des mini-jupes mais des jupes courtes, à mi-cuisses. On lui disait qu’elle avait de jolies jambes mais elle ne les montrait jamais. Ses chaussures plates restent au placard. Elle a renoué avec les escarpins pointus, sur des talons de quelques centimètres qui lui affinent la jambe. Depuis qu’elle a fait ce choix de se montrer davantage, elle sent bien que les regards des hommes sur elle ont changé. Ils se retournent sur elle et la complimentent. Même ses collègues femmes lui ont fait des remarques positives qui l’ont encouragée à persévérer. Mais Aline commence à douter. Tout ça, c’était pour faire plaisir à son mari. Et au lieu d’être content, il est devenu encore plus con. S’il croit qu’il lui suffit de montrer qu’il bande pour lui donner envie, à elle, de lui sauter dessus, il se trompe. Elle a envie de ses regards gourmands, ceux qu’il avait au début de leur histoire. Elle a envie de caresses, de compliments, d’attentions. Il fait la gueule toute la journée, et le soir il veut qu’elle ait envie de lui. Elle culpabilise presque en se disant que tout ça c’est de sa faute. Mais elle perdure dans ses ...
    ... efforts. — Me voilà. On revoit ce dossier ?— Humm… tu sais, Aline, je te disais que tu es très en beauté : ce n’était pas un compliment en l’air.— Je sais, Cyril. On travaille ?— Oui. Enfin, si je peux.— Pourquoi tu ne pourrais pas ?— Eh bien, j’ai du mal à me concentrer.— Tu devrais te coucher plus tôt.— Je ne suis pas fatigué. C’est la lumière à travers ton chemisier qui m’empêche de me concentrer.— Ah… Gros cochon ! Tu n’as qu’à pas regarder.— T’es marrante, toi. Et si tu mets des vêtements transparents, c’est pour qu’on regarde, non ? Aline est rouge pivoine. Elle n’avait pas réalisé que son chemisier ne cache en effet pas grand-chose. Elle saisit rapidement sa veste qu’elle avait posée sur le dossier de sa chaise et la passe. — Tu vas avoir trop chaud.— Oui, mais tu vas pouvoir te concentrer maintenant.— Pas sûr…— Ah, qu’est-ce qu’il y a encore ?— Tes jambes. Elles sont magnifiques. Et tout à l’heure dans le couloir, tu avais la lumière dans le dos ; je voyais tes cuisses à travers ta jupe. J’arrête pas d’y penser.— Eh bé, mon cochon, t’es un vrai obsédé, toi !— Aline, je ne plaisante pas. Tu me fais un effet terrible.— Oui ? Oublie ça, mon gars. Je suis mariée et fidèle.— Je sais, oui. Dommage. Aline n’aime pas trop les gros lourds qui la draguent aussi ouvertement, mais finalement c’est qu’elle a réussi son changement de look. Cyril, elle le connaît depuis quatre ans et elle travaille avec lui chaque jour ou presque. Il la regardait à peine. Ou bien comme une mère. Depuis ...
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