1. L'amour au bureau (1ère partie)


    Datte: 22/02/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail fépilée, boitenuit, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, extraconj,

    ... le plus heureux des hommes.— Attends, ce n’est pas fini, on a le temps.— J’espère bien. Il continue ses caresses sur ma poitrine, une main se dirige sur mon ventre, approche de mon pubis. — J’adore vraiment ta petite chatte toute nue. En plus, je sais que tu l’as épilée pour moi, c’est encore mieux.— Je ne suis pas sûre que Thierry ait vu grand-chose, par contre, je suis certaine qu’il savait que, toi, tu avais une vue imprenable.— Je peux te dire que cela lui aurait plu.— Ah bon ! Qu’est-ce qui te fait dire ça ?— Tu sais en célibataires, nous avons discuté de nos goûts en matière de femme et à lui aussi, tu plais énormément.— Vous avez des discussions de machos— Non, c’est que tu es attirante, c’est plutôt un compliment.— C’est vrai, je peux le prendre comme ça, c’est plus positif. De plus, plaire à deux hommes, c’est bien.— Ah, ah ! Ne serais-tu pas un peu coquine ou insatiable ? Il continue à descendre sa main sur mon minou. Il introduit un doigt dans ma grotte d’amour. De mon côté, de penser à deux hommes me donne envie, je tends une main vers son pénis qui durcit à nouveau. Je lui dis de s’allonger sur le tapis, je me mets tête-bêche sur lui. Je prends son membre dans la main pour continuer à lui redonner la vigueur nécessaire. De son côté, il alterne ses caresses linguales sur mon clito et me lèvres. Au moment où je me lève pour récupérer une capote sur la table, la sonnette retentit. — Qui peut sonner à cette heure ?— Va voir !— Je vais récupérer un peignoir dans la ...
    ... salle de bain. Je reviens vite. Je m’assieds sur le canapé, il se lève et se dirige vers l’entrée, sabre au clair. Quelques instants après je l’entends ouvrir la porte : — Tiens, Thierry, qu’est ce qui t’arrive ?— J’ai perdu les clés de mon appart, je suis sûr que je les avais chez toi.— Et tu penses les avoir perdues où ?— Vers le fauteuil où j’étais assis, tu n’es pas tout seul, apparemment.— Euh ! Non ! Sa question est inutile, il a certainement vu ma voiture. En plus, si Christophe a ouvert la porte, il doit voir mes vêtements qui sont restés au sol dans l’entrée. À posteriori, je me demande même s’il ne l’a pas fait exprès, car vu où il a retrouvé ses clés, il fallait vraiment le faire. Sur le moment, je ne pense pas à ça. Je dis à Christophe : — Laisse-le entrer ! Il sait bien que je suis là !— Tu peux aller chercher un peignoir dans ma chambre, sur le lit, c’est la porte du fond. Je vais dans sa chambre et trouve le peignoir sur son lit. En fait de peignoir, c’est plutôt une veste de kimono : elle m’arrive un peu en dessous les fesses. Je retourne dans le salon, ils sont en train de chercher les clés. À mon entrée, Thierry lève les yeux et ne se gêne pas pour me regarder sous toutes les coutures. Je ne peux pas lui en vouloir, vu les circonstances, c’est naturel, si je n’avais pas voulu qu’il me voit, je serais restée dans la chambre de Christophe. En fait, Christophe a l’air plus gêné que moi. Thierry retrouve rapidement ses clés, coincées entre le coussin et le bras du ...