Ma très belle-soeur! (1) - Histoires de Sexe

Ma très belle-soeur! (1)

... allaient s’entraîner à sa caresser, pour voir si Marie se faisait bien mouiller, une bonne pénétration ayant besoin de ça. Marie se mit donc au travail. Elle s’allongea sur le lit, écarta les jambes et commença à se faire du bien. Croyez-moi, étant caché derrière la porte, je n’en perdais pas une miette. Je l’avais déjà au garde-à-vous. Azélie, un peu bisexuelle et très ouverte, lui proposa de la caresser afin de lui apprendre une ou deux choses. Marie arrêta de se masturber, choquée par la proposition! Mais Azélie lui dit qu’elle prendrait un pied d’enfer à recevoir des caresses et à se laisser guider. Marie, qui avait déjà le ventre en feu, et qui était bien partie pour prendre son pied, finit par accepter. Azélie lui dit de lui faire confiance. Marie se laissa bander les yeux et attacher les mains au lit, convaincue par sa sœur que ça lui ferait plus de sensations. Une fois que Marie ne pouvait plus voir, je rentrais à pas de loup dans la chambre. La vision de ma copine en nuisette et de Marie attachée à moitié nue faillit me faire éjaculer directement. Je repris quand même mes esprits et me déshabilla en silence. Azélie s’était allongée à côté de Marie, et avait posé sa main sur sa fine toison. Le clitoris de Marie était bien visible et les draps déjà bien trempés, les jambes très écartées. Azélie, tout en caressant sa sœur, lui dit de ne surtout pas être surprise par un mouvement sur le lit et une sensation nouvelle sur sa chatte. Je m’allongeai sur le lit, et me ...

... retrouva face au clitoris de Marie. Ma langue commença son ouvrage. Marie poussa un cri de surprise, surprise qui se transforma en un râle de plaisir. Plus ma langue titillait son clitoris, plus elle mouillait et ondulait de plaisir. Elle était à la fois apeurée par cette personne inconnue qu’elle ne pouvait voir, et à la fois complètement prise par la chaleur de son ventre. Sa chatte était plus que trempée et ouverte. Sa vulve frémissait tout le temps. Les râles qui sortaient de sa bouche montraient qu’elle se laissait finalement totalement aller. Azélie, qui avait commençait à se masturber aussi, regarda Marie et lui dit qu’elle pouvait aller plus loin si elle le désirait. La réponse de Marie fut un simple "Ouiiiiiiii!!!!!!". Azélie me susurra de dépuceler sa sœur comme je l’avais fait pour elle. Ravi de cette proposition, j’arrêtai mon cunnilingus et me position sur Marie. Elle ne pouvait toujours pas me voir ni me toucher, étant attachée. Par contre, j’en profitais pour lui lécher les seins et l’embrasser à pleine bouche. Mon érection se présenta à l’entrée de son vagin tout mouillé. Elle me dit de la prendre immédiatement. Je commença donc à la pénétrer jusqu’à que je sente une petite résistance. Elle ondula du bassin pour bien se positionner et me dit, tout en me mordillant l’oreille, que je pouvais rentrer. Elle poussa un petit cris au moment où je fis un mouvement brusque. Marie n’était plus vierge. Azélie, qui tout en se masturbant, n’en perdait pas une miette, félicita sa ...