1. Isabelle, grosse et petite mais belle (14)


    Datte: 23/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    — Ah !!! Vous avez fait connaissance à ce que je vois. Nous dit Jean en montrant l’érection de se « fille ».- Papa, un peu de pudeur... — C’est toi qui dis cela ? Avec l’érection que tu te payes ? Effectivement, le sexe de Vanessa mesure bien 25 centimètre par 5 ou 6 de diamètre. Jean m’invite à sa droite, sa femme à sa gauche, Vanessa en face, entre Isa et Lili. Éva nous sert avec joies des petits farcis. Le rosé coule à flot. Le dessert est à la hauteur des talents culinaires d’Éva, Une « tropézienne » maison. Jean nous explique plus en profondeur les raisons du choix de sa fille. C’était, au début, le choix de sa mère, qui désirant une fille, l’avait élevé comme telle. A l’époque, ils étaient à Tahiti et cela se pratique sans pudeur aucune. Cela était très bien accepté et que ces transgenres étaient monnaie courante en Polynésie. Ils étaient restés dix ans et à leur retour en France, Vanessa ressemblait plus à une petite fille qu’à un petit mec. Ils décidèrent alors de la considérer comme telle. Ensuite était venue sa décision de sa transformation physique définitive. Il ne lui connaissait pas d’ami ou d’amie régulier. — Papa, je t’en prie, c’est de ma vie privée que tu parles là... — Au moins ils sont au courant. — Arrête de l’embêter, Jean !!! S’exclame Éva. — Bon, un petit bain, dit Vanessa, ça vous tente ? Lili et Isa répondent par l’affirmative, moi je rechigne un peu. Vanessa me prend par la main et m’entraîne dans la piscine. Il s’en suit d’un long baiser ...
    ... langoureux. « Elle » m’embrasse comme une nana en me caressant les fesses. — On s’occupe des filles ? Me dit-elle. — Tu prends laquelle ? — Ta femme. J’ai vu que toi et Isa vous vous dévorez des yeux depuis le début de la soirée. On s’approche des filles, tels des prédateurs. Vanessa fait ressortir ma femme et l’installe sur transat recouvert d’un matelas de plage. Elle lui met la tête dans le vide et présente son sexe à sa bouche. Lili lui gobe jusqu’à la garde. Vanessa me regarde, étonnée, me faisant signe du pouce que tout va bien. Je prends Isa par les hanches et lui demande de s’asseoir sur les marches. Je plonge ma tête vers son sexe glabre. J’aspire ses lèvres, son clito. Elle s’abandonne à mes caresses en s’appuyant en arrière sur ses bras. Je jette un œil par-dessus mon épaule, c’est pour voir Vanessa en train de baiser la bouche de mon épouse. Je suis vite rappelé à l’ordre par Isa. Je la pénètre le plus loin possible avec ma langue. Je n’entends que les cigales, le bruit des pompes de la piscine et des gémissements venants de la terrasse. C’est Jean et Éva. Il a allongé sa femme sur la table basse et lui bouffe également l’abricot. Je mets Isa dans une position scabreuse. A quatre pattes, les genoux reposants sur le haut des escaliers et ses mains sur la troisième marche de ceux-ci. De cette façon, elle m’offre son gros fessier et donc ses deux trous. J’ai une vue sur Vanessa et ma femme ainsi que sur Jean et Éva. Je plante mon dard, d’un coup sec, dans l’abricot d’Isa. — ...
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