Sonia où l'apprentissage de la vie - Histoires de Sexe

Sonia où l'apprentissage de la vie

... dernière goutte. — Alors ?— C’était bon… Mais j’ai honte.— Pourquoi ? Je ne connaissais pas cet homme il y a encore 5 minutes ! Et je l’oublierai dans 5 autres. Mais son goût restera à jamais dans ma mémoire, comme celui de tous les autres !— De tous les autres ?— Pas mal oui, c’est une excellente nourriture tu sais ! Viens, allons marcher un peu ! Sonia et Marie marchèrent alors quelques instants, quand Marie aperçut un autre homme en train de téléphoner dans sa voiture, arrêtée le long du trottoir. — Rentre dans sa voiture, pompe-le, et surtout ne referme pas la portière.— Mais je ne peux pas, je ne le connais pas !— Justement, ça n’en sera que meilleur ! Sonia ouvrit la portière du passager, rentra à genoux dans la voiture, prit soin de ne pas fermer la porte et approcha sa tête de la queue de l’inconnu au téléphone qui n’en croyait pas ses oreilles. Mais comment résister à une jeune fille tout juste sortie de l’adolescence, belle, très belle et qui était prête à vous faire du bien sans rien en retour ? Sonia commença alors son oeuvre, de plus en plus vite, jouant avec sa langue, remontant le long de la hampe de bonne taille qui lui était offerte. Marie disposait ainsi d’un spectacle hors du commun : une jeune fille en train de sucer un inconnu, le cul relevé dont elle pouvait deviner tous les contours… Elle n’en pouvait plus. Une main dans la fermeture éclair de son jean, elle tira violemment de l’autre main sur le pantalon de Sonia, qui descendit jusqu’au milieu des ...

... cuisses. La vue de Marie s’était dégagée. Elle pouvait maintenant apercevoir le string de Sonia, dont l’auréole entre les jambes traduisait une excitation que confirmaient les mouvements de plus en plus rapides de sa tête. L’homme à la voiture était prêt à décharger. — Avale-tout et ne te retourne pas… Je ne veux plus voir une goutte sur sa queue ! Et Marie léchait maintenant ce string qu’elle écarta ensuite à l’aide de ses doigts plein de mouille, sa propre mouille qui se mêlait à celle de Sonia. Sa langue fouillait son petit trou, sa fente bien humide puis remontait vers ses fesses. Marie introduisit alors un doigt dans le cul de la jeune fille, puis un autre dans sa fente. Sonia était en train de se branler sur les doigts de Marie alors qu’elle avalait le foutre de cet homme. Quand il eut fini d’éjaculer dans la bouche de Sonia, celle-ci se retourna puis embrassa vigoureusement Marie, lui donnant un peu de cette substance chaude qu’elle aime tant. Les deux jeunes femmes recommencèrent alors à marcher, s’éloignant sans dire un mot à l’inconnu. — Alors, je n’avais pas raison ?— Si, jamais je n’aurais osé sans vous…— Tu peux me tutoyer si tu veux !— D’accord… Marie porta alors sa main entre les cuisses de Sonia. — Tu es encore toute mouillée ma salope ! Regarde-moi ça, mes doigts sentent encore ta mouille ! Sonia était de nouveau embarrassée. Elle était effectivement très excitée, autant par la queue de l’inconnu que par les caresses de sa compagne. — Tu en veux encore ? Alors ...