1. L'intermède


    Datte: 24/02/2020, Catégories: fh, fplusag, campagne, volupté, Masturbation fdanus, fsodo, init,

    ... vous, Pierre fait rentrer son amie dans le petit réduit, puis ferme la porte. Florence ne se retourne pas, elle regarde droit devant. Pierre retrousse sa petite jupe en jean et fait glisser tout doucement sa petite culotte de sport en coton sur ses chaussures. Il la prend dans ses bras et lui dit à voix basse : — Laissez-vous aller, ma fille, votre pénitence va commencer. Asseyez-vous lentement sur moi. Florence est silencieuse. En s’asseyant elle sent le sexe de son ami qui est à l’entrée de son minou. Par de petits mouvements elle le fait entrer, puis elle s’assied. La pénétration est totale, son excitation est presque à son comble. — Pierre, j’ai envie de voir ton visage pour faire l’amour.— Mais c’est impossible de te retourner avec ta culotte. Florence se relève et enlève sa culotte de coton sans même avoir besoin d’ôter ses chaussures : — À faire un péché autant le faire complètement. Ce n’est pas une petite culotte de coton qui va m’empêcher de faire ce que j’ai envie de faire. Florence s’assied maintenant sur Pierre, face à lui. Avec sa main elle guide son sexe dans son minou et commence à faire des mouvements lents et profonds. Pierre est aux anges, c’est elle qui lui fait l’amour et elle a l’air d’être dans une sacrée forme : — Pierre, j’ai l’impression que tu me fais faire aujourd’hui à plus de quarante ans toutes les bêtises que tu n’as pas osées faire quand tu étais un jeune ado.— Que faisais-tu à cette époque ?— J’étais déjà une mère de famille respectable.— ...
    ... Et respectée ?— Bien sûr ! Je n’ai pas connu beaucoup d’hommes dans ma vie, mes aventures tiennent sur les doigts de mes deux mains, mon ex-mari et toi compris.— C’est un peu sur le tard que tu découvres les péchés de chair.— Tu es vraiment un monstre de me dire cela.— Pas du tout, mieux vaut tard que jamais et notre « bonne heure » ne fait que commencer.— Tu veux dire « le bonheur » ou « une bonne heure » ?— Les deux, Florence. Pierre caresse de plus en plus fermement les cuisses, les fesses et le bas du dos de Florence, à la limite du raisonnable. Ses doigts dessinent sur la peau de longues traînées rouges. Florence ne réagit pas. Son excitation est si forte qu’elle n’en ressent aucune souffrance, seulement un besoin de plus en plus fort d’accéder au plaisir, un plaisir qu’elle veut sans limite avec son amant. Avant d’atteindre ce Nirvana elle veut que leurs deux bouches ne fassent plus qu’une. Florence saisit la tête de Pierre et le regarde droit dans les yeux, son regard est suppliant, il faut que cet instant puisse durer, qu’elle ait le temps de l’embrasser lentement mais avec toute la force de son corps. Ses ongles s’enfoncent dans le dos de Pierre qui est lui aussi comme insensibilisé. Leurs deux corps sont prêts, Florence le sait. Elle n’attend que cela pour s’offrir complètement et tout donner à Pierre. Florence ne peut s’empêcher de gémir, Pierre ne sait plus où il en est, leurs deux corps ressentent les mêmes vibrations au même moment. Le péché de chair terminé, ...
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