Amina 4
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
J’entrai dans le Mcdo affamé comme jamais. Je fis la queue, pressé de pouvoir passer commande. Lorsque ce fut à moi de me présenter à la caisse, j’eus une sacré surprise : celle qui prenait les commande des clients du Mcdo n’était autre qu’Amina une fille très sexy, avec qui j’avais déjà couché. Elle était assez grande, la peau noire, un beau visage, et de magnifiques formes, une grosse poitrine (90D), une taille fine, et de très belles fesses. Lorsqu’elle me reconnut elle eut un grand sourire. « Salut tu vas bien ? » « Ouais pas mal, et toi ? » « Ca peut aller. Tu veux quoi ? » Je passai ma commande, et elle transmit aux cuisines. Deux ou trois minutes plus tard, ma commande arriva, et Amina me la donna, un grand sourire aux lèvres. Je la remerciai et m’installai pour manger. Au bout d’un moment, je vis qu’elle m’avait laissé un petit message, griffoné à la hâte sur un bout de papier, laissé sur le plateau. « Je finis mon service dans une demi-heure, retrouve moi sur le parking. » Je me sentis aussitôt très excité : ce n’était sûrement pas pour discuter poliment, qu’elle me donnait rendez vous… Je finis mon repas, en prenant tout mon temps. Une fois la demi-heure passée, je me rendis sur le parking, toujours affamé. J’avais mangé certes, mais j’avais à présent faim d’autre chose… Amina m’attendait là, sur le parking, près d’une voiture rouge aux vitres teintées. Elle s’était changée, et était vêtue d’une chemise qui moulait parfaitement son imposante poitrine, et d’un jean ...
... qui mettait en valeur son fessier. Je sentis mon sexe se raidir légèrement à sa vue… En me voyant, elle sourit, et ouvrit la portière de sa voiture. « Vas y, entre, assis toi. » Sans discuter, je m’assis sur le siège passager. Au lieu d’aller s’asseoir sur le siège conducteur, Amina vint me rejoindre sur le siège passager, s’installant sur moi. Après avoir refermé la portière, elle se mit à m’embrasser avec fièvre, me plaquant contre le dossier du siège, frottant son imposant fessier contre mon sexe, qui devint vite très dur. Nous étions collés l’un à l’autre de façon très sensuelle, son visage à quelques centimètres du mien. « Je te préviens, je suis morte de faim, ça fait trois heures que je sers des frites, maintenant, j’en veux pour moi ! » « Tu vas en avoir une bien grosse, répondis-je en souriant. » Souriant à son tour, elle me retira mon jean, puis mon caleçon, avec impatience. Elle se dévêtit également, ne gardant que sa chemise. Puis, sans plus tarder, elle s’empala sur moi. Elle devait être en manque depuis un moment, car elle semblait impatiente, et très sensible. Rien qu’en s’empalant sur moi, elle poussa un grand gémissement. Et, quand, poussée par son impatience, elle se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, très vite, elle poussa des cris de plaisir qui devaient s’entendre jusqu’ à l’autre bout du parking. Elle était vraiment en mode sauvage, me baisait très fort, m’embrassait comme une folle, et me mordait le menton, le tout en me souriant d’un air vicieux, ...