1. Ascenceur


    Datte: 22/09/2017, Catégories: fh, extracon, ascenseur, hotel, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... le lit, le membre encore dressé, sous le drap. Trois minutes plus tard, elle entre. La jupe en place et le chemisier un peu chiffonné. Elle n’ose pas me regarder, et va vers la salle de bain, mais je l’interpelle avant : — Que faisais-tu ?— Oh, rien, je parlais avec un homme à l’accueil.— Viens, lui dis-je. Là, viens de suite.— Non attends, il faut que je fasse pipi.— Non, regarde, il faut que tu m’expliques… ça. Et je lui sors son string. — Viens me sucer comme tu l’as sucé, mais moi je veux ton cul en levrette. Lentement, elle se dirige vers le bout du lit, et vient vers moi à quatre pattes… L’hôtel nous octroie une chambre au troisième et dernier étage. Le restaurant est au rez-de-chaussée, et le SPA au sous-sol. C’est un vieil hôtel rénové avec un escalier de marbre qui mène au premier, et deux petits ensuite qui conduisent vers les derniers étages. L’ascenseur est dans un coin, ouvert comme dans ses vieux immeubles parisiens, avec son système de deux grilles à manœuvrer pour y entrer ou sortir, encadrant. Comme à notre habitude, nous faisons un festin, apéritif, entrée, plat et dessert, café gourmand et une bouteille d’excellent vin. Je n’ai pas du tout l’habitude de boire, me contiens à peine et mon rire résonne dans la salle. Habillés sobrement, mais classe, je porte une jupe légère, un chemisier presque transparent qui laisse deviner ma poitrine sans soutien-gorge (monsieur aimant les savoir libres, je sais que cela ne le laisse pas indifférent), et des bas noirs ...
    ... sexy. Un homme tout particulièrement, semble attentif à notre table. La quarantaine, grand, mince et musclé, les cheveux courts, il observe et s’intéresse autant à son verre qu’à moi. J’en avertis mon mari. Mais nous reprenons nos joutes verbales et l’homme passe au second plan de nos préoccupations. Alors que mon mari sirote son calva, et que je grignote ses mignardises, nous nous tenons la main sur la table, nos pieds s’entrecroisent sous la table. De temps en temps, je jette un coup d’œil vers l’homme au bar, son regard qui pèse sur moi me déstabilise. Cela fait du bien de se sentir désirée, mais en même temps je n’ai pas l’habitude. Et puis je crois que je suis un peu pompette. Je n’aurais pas dû boire du vin. Je propose à mon mari de monter en premier le temps pour moi de terminer le dessert, d’aller aux toilettes et de réserver surtout nos activités pour le lendemain. Il se dirige vers l’ascenseur et me laisse avec la promesse de ne pas s’endormir avant mon retour. Allez hop, dessert avalé, je me rends à l’accueil pour organiser les activités de demain. Je passe devant le petit salon pour retourner vers l’ascenseur lorsque je me cogne dans une plante verte : ça m’apprendra à être distraite ou un peu soûle ou un peu des deux et puis il faut dire que l’homme du restaurant s’est levé de son fauteuil juste devant moi, ça m’a légèrement surprise. Alors que je me frotte la cheville, il s’approche de moi, pose une main sur mon coude et me demande si ça va. Le contact de sa peau ...
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