1. Quelqu ange est passé


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    La crue est assez impressionnante sur les bords de Marne. C'en estdéprimant. Régulièrement j'y promène mon chien, Balthazar. Ce simplerituel inaugure ma journée. J'arbore mes soixante piges. Chômeur etfutur retraité, je porte beau. J'ai perdu mon épouse il y a deux ans. Jem’en suis remis. A présent et en toute impunité je peux fréquenter cesfemmes qui constituaient alors mes maîtresses. Je peux faire celamaintenant au grand jour et grand dam des autres. Époux alors volagecela m'a enlevé pourtant une certaine saveur. Je n'en aime pas moinstoujours les jolies femmes.Ce matin-là mon regard fut d'emblée frappé par cette beauté brune. Je nel'avais jamais vu. Ce devait être une nouvelle personne. Peut-être unevoisine ayant aménagé récemment. Je ralentis mon pas. Elle tourna latête _ elle fumait le cheveu au vent. Elle sourit voyant mon chien. Jereconnais que je recoure souvent à Balthazar pour aborder les dames. Jen’avais d’yeux que pour ces jambes et ces cuisses surtout. Celles-ciétaient croisées. On distinguait avec quelque impudence la naissance desbas et la chair blanche dessus qui affleurait. Quel splendide spectacle.Elle ne pouvait ignorer le trouble qu’elle pouvait susciter et notammentà l'égard de mâles en mon genre. J'eus l'idée un instant que ce pouvaitêtre une prostituée sévissant dans le coin. Puis me ravisant et me fiantà ma longue expérience, je me dis que ce n'était pas la bonne hypothèse.Que ce devait être une de ces petites bourgeoises en mal de sensationset qui ...
    ... à bon compte avait décidé d'allumer le cochon du coin. Jeregardais du reste alentour s'il n'y avait pas quelque paparazzi ou quedu moins cela ne constituât pas un piège. On n'est jamais trop prudent.Parvenu à un coude de la rivière, je revins sur mes pas avec Balthazar,rituel immuable . J'allais passer à nouveau devant la belle. Serait-elletoujours là ? Mon cœur battait davantage. Elle était là-bas encoretirant sur sa cigarette. Cuisses sublimes toujours croisées. Je ralentisle pas à dessein. J'escomptais bien que Balthazar suscitât encore sonintérêt. Elle sourit en effet à l'enjouement que celui-ci lui témoignât.J'osais alors quelques paroles : « Vous lui faîtes assurément quelqueeffet. » Mon propos était à dessein leste. Elle n'en prit pas ombrage.Elle lui caressa la tête.Je poursuivis. Je jetais mon regard sans retenue sur ses cuisses. Jetenais à bien marquer aussi mon impudence. On pouvait croire qu'affectéed'une certaine pudeur, elle pourrait alors décroiser ses cuisses ouremonter un peu sa jupe qu’elle avait courte. Au contraire il semblaqu'elle croisa encore plus haut ses cuisses. A présent éclatait lablancheur de cette chair affleurant tout au sommet des bas. Je songeaisà la touche d'un peintre. En même temps elle avait imprimé unbalancement d'escarpin au bout d'un des pieds. Cela pour me bouleverseret me lancer sûrement un défi.On parla des qualités de Balthazar mais il y avait vraisemblablementdessous un autre texte lequel disait notamment : « Il (Balthazar) est ...
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