La porte verte
Datte: 26/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ascendant,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fantastiqu,
... délicatement la poignée de la porte. Qu’allait-il trouver ? Rien, il n’y avait rien. Le néant. Un espace teinté de bleu également. Puis, le plancher bascula. Balou ne put se retenir à la poigné, il tomba. La chute. Il cria, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il était aspiré par une sorte de tuyau à spirale. Il voyait au loin la porte se rétrécir rapidement, puis il la perdit de vue. Il s’écrasa dans un concert de plumes. Les édredons avaient atténué sa chute. Il éternua, tenta de se mettre debout, mais il perdait constamment l’équilibre, la faute aux milliers d’édredons multicolores. Balou se calma. Il regarda son environnement immédiat. Blanc, tout était blanc. Murs et plafonds. L’éclairage provenait des centaines de petites lampes en forme de champignons, accrochées aux parois. Au loin, très loin, à des centaines de mètres une porte à double battant obnubilait Balou. Il avançait péniblement, il chutait tous les deux mètres tant le sol était meuble. Entre deux édredons géants, il distingua une pancarte fixée au mur blanc. Il s’en approcha, horrifié il lut : « Vous êtes dans le fantasme de Jacques » Soudain, il fut tiré vers le bas. Balou chuta une énième fois au milieu des plumes. Des mains, des dizaines de mains l’agrippaient. Puis il sentit des cheveux, une main se posa sur ses yeux. D’autres le maintenaient. Il ne put plus bouger, mais il sentait qu’on le déshabillait, qu’on le tâtait, qu’on le palpait. La main sur ses yeux disparut. Il cligna des yeux. Balou était ...
... assis sur un édredon. Nu face à une vingtaine de femmes, nues également. Des brunes, des blondes, des rousses. Petites ou grandes, elles avaient toutes des cheveux très longs. Elles le regardaient. — Enfin tu es venu à nous Jacques, murmurèrent-elles, en se passant la langue sur leurs lèvres, avec un regard affamé. Cela fait si longtemps que tu n’es pas venu, nous te remercions d’avoir laissé Julie.— Mais je ne suis pas Jacques ! Elles se jetèrent sur lui. Les mains, les bouches, les doigts, les fesses, les ventres, se frottaient contre lui. Elles haletaient, riaient, s’amusaient avec lui. — Ce n’est pas Jacques ! Une jeune femme blonde, nue, à la lourde poitrine, tenait entre ses doigts la verge de Balou. Une belle érection dardait ainsi devant les femmes. Elles cessèrent leurs caresses, surprises par cette affirmation. — Cet homme est circoncis, fit remarquer la blonde masturbatrice, alors que Jacques ne l’est pas. En plus je ne reconnais pas son gland. Celui-ci est vraiment gros et très violacé, vous le voyez ? Les femmes se rapprochèrent. La verge de Balou se recroquevilla instantanément. La jeune femme le lâcha et lança : — Qui êtes-vous ? Balou déglutit péniblement. — Je suis le fils de Jacques. Un murmure se propagea dans l’assistance. Les femmes s’écartèrent de Balou. Comme par miracle les édredons firent place à un sol plat. Des dalles blanches et noires apparaissaient. La pièce immense ressemblait à un damier géant. Les femmes apeurées, nues, frissonnaient. Les dalles ...