Occupation et conséquences
Datte: 26/02/2020,
Catégories:
fhh,
humilié(e),
chantage,
Oral
double,
Partouze / Groupe
historique,
... conduite les autorise amplement à le faire. Elle devrait se rebeller, faire cesser cette incongruité, mais ne le peut, son corps, ses instincts, ses sens ont pris l’ascendant sur sa volonté. Elle est dans un état second où éducation et moralité sont occultées, l’image même d’Ian est noyée dans les brumes de la volupté. Seule compte la satisfaction de sa chair et elle n’est pas arrivée à satiété, malgré la vivacité et la robustesse de Lucien. Celui-ci, après l’avoir longuement besognée, se retire pour revenir vers sa bouche afin de s’y déverser. De le sentir se dégager de sa chatte, fait naître en elle un sentiment de viduité qui lui est cruel, aussi s’empresse-t-elle dans un premier temps de le faire décharger et dans un second de le rendre apte à la reprendre. Son éjaculation est presque aussi abondante que la première fois et son retour à la rigidité rapide. Durant ce temps, le sergent continue de commenter, en termes égrillards, le zèle montré par Patricia à jouer à la bête à deux dos et à téter. Échauffé par ses propos et le spectacle, il lui prend une envie de revenez-y. Il s’installe devant celle qu’il ignore être une comtesse et lui présente ses attributs. Icelle les embouche sans chipoter et redonne à la chose flasque qui lui a été proposée, une consistance plus avantageuse. Dès celle-ci obtenue, il l’engage à venir s’empaler. La gourgandine s’exécute au dam du soldat qui se retrouve mis sur la touche. Lucien se sent frustré d’avoir été délogé, il n’entend rester ...
... ainsi en spectateur. C’est bon pour le sergent. Après quelques instants d’hésitation, il s’agenouille, arrête Patricia jouant les ludions sur le pieu du sergent qui lui malaxe les seins avec énergie et la maintient statique. Alors il entreprend de rejoindre le sous-officier dans la moule si accueillante. L’intromission surprend la comtesse. Le nouvel entrant a du mal à prendre sa place dans l’endroit déjà embesogné, d’autant qu’il est d’un gabarit conséquent. Bien qu’elle ait l’impression d’être écartelée, elle ne s’insurge pas. Sa chair n’ayant toujours pas eu son saoul de plaisir. Le sergent aussi est surpris. Son étonnement passé, il se met à discourir : — Morbleu ! On dirait que ça ne lui fait pas peur à cette chienne. Y faut pas lui en conter à cette grognasse, il lui faut du consistant. Vas-y mon Lucien, on va lui en donner. Hein salope, tu en veux de la bite. Après quelques jours sans ton homme, t’es en manque. Tu peux plus te retenir. J’avais raison de ne pas vouloir te laisser y aller sans ta dose de cul. Tu te serais déchaînée. T’aurais pas pu t’empêcher de sauter sur ton mari et les autres en vous voyant faire des galipettes, ça leur aurait donné des idées et y t’auraient grimpée. Ton mari peut nous dire merci, on lui a évité de voir sa femme se faire défoncer par ses copains. C’est peut-être ben ce que tu voulais, qu’ils te passent tous dessus, hein, pouffiasse ? Mais je crois plutôt qu’il doit être content que d’autres se chargent de toi. Sans quoi, endiablée de la ...