1. Occupation et conséquences


    Datte: 26/02/2020, Catégories: fhh, humilié(e), chantage, Oral double, Partouze / Groupe historique,

    ... Une fois couchée, Patricia ne trouve pas le sommeil. Ce n’est pas seulement sa chatte malmenée qui l’en empêche, mais surtout le souvenir de cet après-midi à la fois terrifiant et fascinant. Elle se remémore particulièrement, quasi mot à mot, son discours de remerciement. Audrey sent que son amie est agitée et ne peut s’endormir. Elle comprend en repensant à cette journée. En voyant que Patricia s’était fait surprendre, elle a été désespérée, persuadée qu’elle allait être expulséemanu militari. Puis voyant qu’elle réussissait à discuter, elle s’est dit qu’elle arriverait à attendrir les deux soldats. Quand elle a compris ce qu’ils attendaient de son amie pour la laisser poursuivre, de nouveau elle a pensé que c’était la fin de l’aventure. Elle a été surprise que l’impudente proposition ne soit pasillico balayée avec mépris. De voir ensuite la comtesse se laisser déshabiller ou, pour être plus sincère, se déshabiller avant de s’agenouiller devant les deux hommes pour leur faire une pipe, l’avait stupéfiée. Elle voudrait ne pas laisser Patricia se ronger, mais n’ose amorcer la conversation. C’est cette dernière, oppressée par le remords, qui prend la parole : — J’ai trompé Ian. Je l’ai cocufié, plus que cocufié : trahi. Je ne pourrais jamais plus le regarder en face.— Non tu ne l’as pas trahi. C’est pour le rejoindre que tu l’as fait. Peu aurait été capable de supporter ce que tu as supporté par amour pour son mari.— Supporté ! ricane Patricia. Tu n’as pas bien vu. Pendant ...
    ... dix minutes peut-être. Après, cela m’a troublée, puis émoustillée et enfin excitée, de plus en plus excitée. Quand je leur ai dit merci à la fin, c’était pour leur plaire, pour m’en débarrasser, qu’ils partent, mais ce que j’ai dit, que j’étais contente qu’ils m’aient pétrie les nichons, permis de sucer leurs bites et de bouffer leur foutre, qu’ils aient baisé la chienne en chaleur que j’étais, bourré ma moule de pouffiasse, fait prendre mon pied de catin lubrique, éteint le feu de mon cul et ramoné ma chatte, c’était vrai. Quand ils se sont mis à me labourer tous les deux en même temps, je ne voulais pour rien au monde qu’ils arrêtent. Quand le sergent a dit qu’il n’était pas trop de deux. Il voyait juste. S’il avait appelé deux ou trois camarades à la rescousse, en rut et déchaînée comme j’étais, je n’aurais émis aucune objection, bien au contraire. Tous les gardes me seraient passés dessus que j’en aurais redemandé.— Calme-toi. Tu n’avais pas le choix si tu voulais ne pas être séparée de ton mari peut-être des années durant…— Mais j’ai…— Laisse-moi finir. Tu as fait ce qu’il fallait pour suivre Ian, quand tu as accepté les conditions de ce porc de sergent, mais il était visible que cela te bouleversait de devoir agir ainsi. Tu étais dans un état de fébrilité extrême. Pour pouvoir l’endurer sans se révolter, ta conscience s’est mise en sommeil. Ta volonté de fuir a été occultée, pour être remplacée par ceci qui te permettait de subir l’étreinte des deux soldats…— Que veux-tu ...