1. David, un mari chanceux diront certain (3)


    Datte: 26/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... interrogateur. La réponse ne tarda pas. ─ Oui, fou-toi à poil ! Et vite, je n’ai que trop attendu. ─ Oui Maîtresse Sophie, répondis-je instinctivement. Le ton de sa voix m’avait tétanisé. Michel jubilait de voir pour de vrai une scène de domination. Pour ma part, j’avais une boule au ventre qui s’amplifiait au fur et à mesure que je quittais mes vêtements. En retirant mon caleçon face à eux, Michel se mit à rire : ─ C’est donc ça sa cage à bite ! En effet vu sa taille, il est inutile qu’il bande. Elle lui avait donc parlé de mon encagement. Je baissais les yeux qui commençaient à s’embuer de larmes. J’imaginais la rumeur qui bientôt allait se propager dans l’immeuble. Je ne connaissais Michel que furtivement, mais il n’allait pas se priver de colporter cette information lors des soirées entre voisins ou autre. Maîtresse Sophie reprit le fil de la conversation, moi restant debout et nu devant eux habillés et confortablement assis dans mon canapé. ─ J’expliquais à Michel à quel point toi aussi tu aimais le champagne. Pourrais-tu lui dire quelle cuvée tu préfères ? La forme interrogative de cette phrase et son ton mielleux n’avaient que pour but de m’humilier un peu plus encore, ne pouvant pas refuser de répondre. ─ Il s’agit de la cuvée de Maîtresse Sophie. ─ Va donc chercher un verre que je te serve. Michel me suivait du regard. Visiblement, il ne comprenait pas tout. En revenant, je me mis à genoux devant Maîtresse Sophie en lui tendant le verre. Elle se leva et tout en ...
    ... retroussant sa jupe, elle ajusta le verre face à sa fente. Elle le remplit rapidement de son nectar. Michel n’en croyait pas ses yeux. Elle me présenta le verre. ─ Maintenant, trinquons : à David et à sa petite nouille. Qu’elle reste en cage longtemps ! Tous les deux se mirent à rire. Pour ma part, je ne savais plus où mettre. Je portais à mes lèvres la coupe pleine du champagne de ma maîtresse. Il était chaud. Bien que son odeur fût un peu acre, j’éprouvais un plaisir visible de profiter ainsi de Maîtresse Sophie. Mon petit sexe emplissait alors la cage. J’avalais d’un trait le verre que l’on m’avait offert. ─ Tu avais soif on dirait, dit alors Maîtresse Sophie. Je t’aurais bien resservi, mais malheureusement pour toi, je t’ai donné mes dernières gouttes. Tu devrais demander à Michel, je suis sûre qu’il peut t’en offrir. Comment pouvait-elle me demander de boire l’urine de cet homme ? Mais rapidement, Michel commença à déboutonner son pantalon. ─ Attend Michel, je veux qu’il quémande ta pisse. Allez, David, demande à Michel. Je cherchais mes mots. J’avais l’habitude d’obéir, ce qui était suffisamment humiliant, mais c’était encore plus dur de parler pour se faire outrager. ─ Michel, pouvez-vous me donner de votre champagne à boire ? ─ Non, David, reprit Maîtresse Sophie. Le champagne provient de moi. Michel va t’offrir de la pisse. Une pisse dégueulasse de mâle et que tu vas boire. Maintenant recommence et soit plus convaincant. ─ Michel, pouvez-vous m’offrir votre pisse que je ...