1. Et voici, une page de réclame.


    Datte: 26/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour,

    Mia sans dessous.C’est le titre de mon livre. Voici pourquoi, je l’ai appelé comme ça.Je fais une allergie aux sous vêtements. Si je mets une culotte, ma chatte a aussitôt le nez qui coule et elle éternue. En public, c’est gênant !Ce qu’il y a surtout, c’est que j’aime me sentir nue sous une jupe. C’est un vrai sentiment de liberté et puis… ça m’excite de me sentir « accessible ». J’aime les mains frôleuses des inconnus dans une foule…« Mia sans dessous » c’est aussi mon surnom. Un soir, je mangeais dans un petit restaurant avec des amis. Les clients avaient pris l’habitude d’écrire sur les murs, un commentaire au sujet de leurs repas… Oui, c’est spécial.Quand mon tour est venu, j’ai écrit, « Délicieux repas et serveuse sexy : bravo. » et j’ai signé « mia sans dessous », sans réfléchir (c’est ma spécialité !)Tous les yeux se sont tournés vers moi. L’idée que je n’avais pas de culotte, intéressait prodigieusement les garçons. Depuis ce surnom m’est resté.Il y a 4 ans, par un dimanche matin pluvieux, j’ai décidé de faire un blog.Comme, j’aime l’aventure et les aventures, j’avais de quoi raconter.Pour commencer, je dois avouer honteusement, que je suis soumise. Je voudrais être Lara Croft et puis je me mets tout de suite à genoux pour faire une fellation et je tends l’autre joue si ma coloc me gifle parce que j’ai mal lavé ses culottes.Au plus loin que je me souvienne, j’ai toujours été comme ça, j’ai même le souvenir du jour où je m’en suis rendu compte.C’est un film à la ...
    ... télé, genre, « Les 1001 nuits », dans lequel il y avait un harem et surtout des esclaves. L’une d’elles, se faisait fouetter. Je pensais tout le temps à ça. A tel point que j’ai voulu écrire le mot esclave, comme pour me l’approprier. Je savais écrire un S, alors j’ai demandé à mon grand père, « Comment on écrit « clave ? » De cette façon, avec mon S je pourrais écrire S-clave, mais il m’a répondu, « Ça n’existe pas « clave ».Par la suite, dans les jeux (innocents !) avec les copains et les copines, j’avais toujours les mêmes genres de rôles. Gendarmes et voleurs ? J’étais la voleuse qui se faisait arrêter par les policiers. Cow boys/Indiens ? J’étais l’Indienne qui se faisait capturée et attachée à un poteau. Personne ne se posait la question, la voleuse on l’Indienne, c’était mia.Plus tard, j’ai eu des amies « énergiques » à qui j’obéissais… Quand, je suis sortie avec les garçons c’était en général les chefs de bande, les costauds, les machos.Parallèlement à cette tendance à ramper, dont je ne suis pas fière, j’ai toujours été très attirée par les filles.Dans les premiers épisodes du blog, je parle d’une période où j’ai été bonne chez des gens riches et libertins. Ça n’a pas duré longtemps, mais c’était très bien payé et j’étais vraiment fauchée à cette époque. Je devais porter un uniforme et une culotte, Madame l’exigeait…Dans les épisodes suivants, je parle des vendanges. J’ai fait ça deux années consécutives.Vous vous doutez que Mia Michael, est mon nom d’auteure, donc je ...
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