Un hôtel particulier
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
fbi,
nympho,
hotel,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple+f,
Collègues / Travail
... dis qu’il est encore temps de refuser le poste mais cette fichue conscience me rappelle à l’ordre. Et puis, après tout, femme de ménage sexy pour quelques mois en attendant de trouver un autre job, ce n’est pas la mort et ça m’excite un peu. Je me retourne pour lui faire face. — Très jolie, cela vous sied à merveille ! Tu m’étonnes que ça me sied à merveille, si mon mec me voit comme ça, il se jette sur moi ! — Bien, dans ce cas, si vous êtes toujours d’accord, je vous dis à demain, 7 h. Je me change, repose l’uniforme et rentre chez moi. Le soir, j’annonce à mon chéri que j’ai trouvé un emploi de femme de ménage sans lui donner de détail sur la tenue à porter. À 7 h tapantes le lendemain, j’enfile mon uniforme qui me colle à la peau. Le patron me présente à son fils qui a exactement le même regard vicieux que son père. Père très observateur qui me dit : — Vous n’avez pas mis vos bas ? « Euh non monsieur, je protège mon petit postérieur, j’ai donc mis un collant», avais-je envie de lui répondre. Mais je fais juste non de la tête. Il part vers son bureau. Je me pense tranquille, eh bien non ! Il revient avec des bas. — Enfilez-ça, c’est mieux, ordonne-t-il. Ne souhaitant pas me faire virer sur le champ, j’obéis. Je sers quatre petits déjeuners dans les chambres : tout se passe pour le mieux. J’en suis à la septième chambre lorsque le fils me retrouve. — Alors, ça se passe comme vous voulez ?— Oui, j’apprends vite. Ce type me trouble, ni beau, ni moche, il a tout de même un ...
... certain charme. Un regard où on a envie de se perdre. « C’est quand il veut», me suis-je dit, ce matin, lors de notre première rencontre. — La tenue ne vous dérange pas ?— Disons que c’est un peu provocateur, mais on s’y fait.— Mon père adore les femmes sexys et depuis 25 ans qu’il tient cet hôtel, je n’ai vu que des femmes de ménage habillées de la sorte. Je comprends mieux pourquoi le salaire est au-dessus du smic. Il ne recrute que des femmes prêtes à jouer le jeu en acceptant de travailler ainsi. N’étant pas forcément prude, une fois la petite interrogation d’hier passée, je trouve que ce n’est pas si gênant que ça finalement, de bosser ainsi. Le petit côté excitant n’est pas pour me déplaire. J’ai tout de même fermé le corsage au maximum. Pierre, le fils, le remarque. Il s’approche de moi et déboutonne deux boutons. La nature m’ayant gâtée côté poitrine, j’ai cru qu’ils allaient s’échapper au second bouton. — Vos seins sont magnifiques, laissez-les donc respirer un peu. Si je me penche, ils s’échappent. Le décolleté est tel que l’on voit parfaitement le galbe de ma poitrine. Mes tétons sont à peine cachés. J’ai un frisson de plaisir. Il s’assoit sur le lit et me dit : — Je vous regarde travailler… Il me reste les poussières et l’aspirateur à passer. Mon torchon à la main, j’époussette les chevets, le cadre du lit devant un Pierre au regard renversant. Chacun de mes gestes dévoile mon petit cul. Je sens une douce chaleur envahir mon entrejambe et me surprends à prendre ...