1. Premiére fessée érotique


    Datte: 25/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    J’avais 18 ans. J’étais étudiante et partageais un minuscule appartement avec deux copines tout aussi fauchées que moi. Mes parents n’avaient pas assez de moyens pour m’entretenir. Je travaillais, des petits boulots de ci de là qui me rapportaient une misère. Marion et Marina se trouvaient dans une situation à peu près analogue à la mienne. On tirait le diable par la queue pour payer le loyer, l’électricité et faire les courses. Tout ça nous posait constamment problème. Évidemment, on se disputait. On n’arrêtait pas de se disputer. Quand la gamelle est vide, les chiennes se battent. Et puis, un beau matin, Marion a rapporté deux sacs de course pleins à ras bord. « D’où tu sors tout ça ? » « Posez pas de questions, les filles, mangez et posez pas de questions. » On en a quand même posé des questions car ça a recommencé encore; des courses puis des trucs pour elle, des sapes, des parfums, du maquillage. « Mais enfin c’est d’où que tu sors tout ça ? » « Faut que je vous fasse un dessin ? » « Tu le piques ? » « Non, mais ça va pas ? Vous me prenez pour qui ? Non! Il y a des hommes qui sont très généreux quand on sait se montrer très gentille avec eux. »Elle était complètement folle. On en parlait toutes les deux, Marina et moi. Nous, il n’y avait pas de risque qu’on mange de ce pain-là. Ah, non alors ! Marina, elle ; elle en a mangé quinze jours plus tard. « Oh, c’est bon ! Tu vas pas m’emmerder avec ta morale à deux balles. On n’est plus au Moyen-Âge. » Elle aussi, des ...
    ... huîtres, du saumon, des robes, des CD, elle en rapportait en pagaille. Ça change la vie il n’y a pas à dire. En tout cas, ça changeait la leur mais ça changeait aussi la mienne. Parce que je profitais d’elles et de leur argent. Je culpabilisais. « Oh, mais arrête de nous prendre la tête avec ça ! C’est fatigant à la longue. » J’avais beau dire, mais intérieurement ça faisait quand même son chemin. Parce que j’avais honte d’être à leur charge. Parce que je les enviais de pouvoir s’acheter tout ce qui leur faisait plaisir. Parce que je me disais que j’étais idiote. T’es bourrée de tout un tas de préjugés et de principes, ma pauvre fille. Je suis libre et je me fait baiser par qui et quand je veux. Mais me prostituer. Elles le font bien, elles. Alors pourquoi pas moi ? Non ! Je ne pourrais jamais. J’aurais bien trop honte. Et puis je me suis mise à surfer sur des sites de rencontre. Et j’eu un premier contact. Il n’était pas trop vieux. La quarantaine, sympathique, il semblait plutôt agréable. Dix minutes de dialogue et l’affaire était conclue. Rendez-vous était pris à l’hôtel. Rien que ce mot « hôtel » me faisait froid dans le dos. Dix fois je suis revenue sur mes pas. Dix fois je me suis fait v******e. J’ai fini par pousser la porte de la chambre. J’étais morte de honte et de trouille. Il est venu à ma rencontre. Il a posé ses mains sur mes épaules et les y a interminablement laissées. Il m’a obligée à relever la tête. « C’est la première fois, hein ? » Je bredouillais : « Non… Oh, ...
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